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J'ai ensuite parlé avec le père Valentin de la situation de schisme provoquée par les Américains par l'intermédiaire du patriarche Bartholomée, et rendue irréparable par la trahison des hiérarques grecs.
Avec beaucoup d'orthodoxes que je connais, je ne suis désormais plus en communion. "Comment pourrais-je rester en communion avec des gens qui le sont, depuis la décision de leur synode, avec des imposteurs plus ou moins criminels comme Philarète et Epiphane Doumenko, lesquels à présent, se jettent de surcroît dans les bras des uniates et de leur métropolite menteur et complice des massacres au Donbass?
- Impossible, impossible, m'a répondu le père Valentin, pourtant très héllénophile. C'est devenu impossible, c'est fini. Le schisme est acté."
Bien sûr, comme au temps du premier schisme du XI° siècle, des gens qui ne savent rien, continueront à aller, déterminés par leur position géographique, dans leurs églises habituelles, et se retrouveront de facto d'un côté ou de l'autre sans l'avoir vraiment décidé. Mais moi, je sais.
Les hiérarques grecs qui ont suivi Bartholomée savent ce qu'ils font, comme le leur a dit le métropolite de Zaporojié. Ils vouent consciemment des millions de croyants et leur pasteur, à juste titre respecté de tous, aux persécutions d'intrigants impurs, aux ordres d'une bande de mafieux supranationaux notoirement sataniques et antichrétiens.
Leur pardonner est l'affaire de Dieu, pas la mienne. Je Lui rends grâce de m'avoir fait monter dans la dernière arche plutôt que de m'avoir laissée en occident, dans la nef des fous.
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1 commentaire:
Bien d'accord avec ce commentaire. Avec une grande tristesse car moi aussi je suis hellénophile, mais je ne peux admettre la reconnaissance de la chienlit de Kiev, faux orthodoxes et vrais uniates. Donc il y a des lieux que je ne fréquenterai plus désormais. Dieu fasse que l'Athos résiste à cette ignominie!
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