"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

samedi 23 octobre 2010

Simples paroles sur la prière de Jésus



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Κύριε Ιησού Χριστέ, Υιέ του Θεού, ελέησόν με τον αμαρτωλόν.


Господи Ісусе Христе Сыне Божїй помилѹй мѧ грѣшнаго


 Seigneur, Jésus Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur.


უფალო იესუ ქრისტე, ძეო ღმრთისაო, შემიწყალე მე ცოდვილი.


أيها الرب يسوع المسيح ابن الله, إرحمني أنا الخاطئ


하느님의 아들 주 예수 그리스도님, 죄 많은 저를 불쌍히 여기소서




Pane Ježišu Kriste, Synu Boží, zmiluj sa nado mnou hriešnym.


Señor Jesucristo, Hijo de Dios, ten piedad de mi, el pecador.


Տէր Յիսուս Քրիստոս Որդի Աստուծոյ ողորմեա ինձ մեղաւորիս


主イイスス・ハリストス、神の子よ、我、罪人を憐れみ給え


Herre Jesus Kristus, forbarm deg over meg.


Господи Иисусе Христе, Сине Божий, помилуй мене грешника.


Господе Исусе Христе, Сине Божји, помилуј ме грешног


主耶穌基督,上帝之子,憐憫我罪人。


Mulej Ġesù Kristu, Iben ta’ Alla l-ħaj, ikollok ħniena minni, midneb





Domine Iesu Christe, Fili Dei, miserere mei, peccatoris


Госпадзе Ісусе Хрысьце, Сыне Божы, памілуй мяне


Heer Jezus Christus, Zoon van God, ontferm U over mij, zondaar.


 Herra Jeesus Kristus, Jumalan Poika, armahda minua syntistä.


Tuan Yesus Kristus, Putera Allah, Kasihanilah aku, orang berdosa.



Christogramme 
avec la prière de Jésus 
en langue roumaine


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Priez sans cesse.
Saint apôtre Paul
( Epitre aux Thessaloniciens)

Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
Saint apôtre Paul
(Actes des Apôtres, 4:12)


On ne peut s'approcher de Dieu sans la prière constante.
Saint Isaac le Syrien (+700 A.D.)



[...] Il est du devoir de tous les chrétiens, petits et grands, de toujours pratiquer la prière mentale Seigneur Jésus-Christ, aie pitié de moi, de sorte que leur esprit et du cœur puisse acquérir l'habitude de toujours proférer ces paroles saintes. Que cela vous convainque combien c'est agréable à Dieu et que beaucoup de bien en découle, puisque Lui, de Son amour infini pour les hommes, a envoyé un ange du Ciel pour nous dire cela, afin que personne ne doive avoir de doute à ce sujet.
Saint Grégoire Palamas (+1359) 
relatant une  révélation d'un ange de Dieu 
dans la vie de saint Grégoire de Salonique




Je l'ai fait (au filleul indiscipliné) s'asseoir sur un banc à côté de moi et je lui ai ordonné de dire la Prière de Jésus sans s'arrêter... Après quelques temps, j'ai remarqué que le fouet n'était plus nécessaire, car le garçon récitait la prière volontairement et avec diligence, et j'ai remarqué un changement dans son comportement... il avait tellement l'habitude de la prière que peu importe ce qu'il faisait, il la disait...
Récits d'un pèlerin russe

(Russie 19e siècle) 




Le Seigneur Jésus-Christ institua la prière en Son Nom. Il promit que cette prière sera particulièrement efficace.

Saint Ignace du Caucase ( Birantchaninov)

La caractère universel de la Prière de Jésus

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Versions et calligraphie: 
http://en.wikipedia.org/wiki/Jesus_Prayer


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"Icons courtesy of www.eikonografos.com used with permission" 


Hésychie (309)



Que la grâce t'éclaire
Te montrant la Voie
Et que ton âme
Y chemine dans la prière

上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

vendredi 22 octobre 2010

Sur la Mère de Dieu et son obéissance



J'avais mentionné une fois dans l'église comment les fêtes dédiées à la Très Sainte Mère de Dieu forment, en quelque sorte, le cadre du calendrier de l'Eglise. Ceci est particulièrement visible lorsque l'on considère le fait que nous commençons notre calendrier en Septembre avec sa Nativité et y mettons fin en août avec sa Dormition. C'est comme si l'année liturgique forme une image, une icône de la Mère de Dieu, une prière semblable à cette supplique qui lui est dédiée dans l'ensemble de nos ecténies dans lesquelles nous "commémorons notre très sainte, très pure, toute bénie et glorieuse Dame, la Génitrice de Dieu [...]offrons-nous les une les autres, et toute notre vie au Christ notre Dieu ". Je pense que cette supplique qui commence avec le fait que nous la commémorons, et se termine avec nous qui nous confions nous-mêmes et confions notre vie au Christ notre Dieu, commence à nous révéler à quel point grand est le mystère de la Mère de Dieu. 


Elle est, en effet, la plus grande parmi les saints chrétiens, pourtant toute sa grandeur réside dans son obéissance, c'est-à-dire à ne pas faire ce qu'elle veut, mais dans sa réponse à l'invitation du saint Archange: "Qu'il me soit fait selon ta parole! "

C'est aujourd'hui, en fait, que nous célébrons sa Nativité et nous avons entendu à la Liturgie de ce matin la lecture de l'Evangile qui est assigné pour toutes les fêtes de la Génitrice de Dieu, l'histoire des sœurs Marie et Marthe (Luc 10:38-42; 11:27, 28). Nous sommes tous familiers de cet Evangile. Pourtant, je trouve assez curieux que cet épisode soit précédé d'une histoire donnée par le Seigneur à propos des bonnes actions. A savoir, la parabole du Bon Samaritain (Luc 10:25-37). 


Par la suite, quand on nous donne l'exemple de Marthe, tout de suite après avoir entendu parler des actions de ce Bon Samaritain dont on fait l'éloge, nous imaginons qu'elle devrait recevoir des acclamations similaires. Mais tel n'est pas le cas. En dépit de sa hâte à servir le Seigneur, il s'avère que Marie, qui "s'était assise aux pieds de Jésus et écoutait sa parole", est l'objet de Sa louange.

De même, c'est à l'image de la Génitrice de Dieu, qui témoigne de notre recherche non seulement de faire le bien, mais d'être capable d'entendre "sa parole" pour cette raison notamment - que nos bonnes actions sont vraiment bonnes. 


Après tout, ce n'est pas notre service de notre seul prochain qui garantit notre salut. C'est plutôt, nos bonnes actions, cette "lumière", qui doit émaner de nous, pour, selon les paroles de notre Seigneur, "glorifier [notre] Père qui est dans les cieux" (Matthieu 5:16). En d'autres termes, il ne faut pas faire notre volonté mais celle de Dieu. Car en effet c'est seulement lorsque nous avons choisi cette "bonne part qu'elle ne nous sera pas ôtée".

Bonne fête!


Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

Hésychie (308)

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Le chant du cœur
Dans la paix de l'âme
Et la fraternité du chœur
Ouvrent les portes du Royaume

上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

jeudi 21 octobre 2010

mercredi 20 octobre 2010

Hésychie (306)




L'Eglise est en même temps
Le chemin terrestre
Et le but du pèlerinage céleste
Qui te mènera vers l'Eternité

上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

mardi 19 octobre 2010

Les Six Psaumes et l'extinction des cierges



Quand elles sont officiées dans le cadre des Vigiles, les Matines commencent par la lecture de l'Hexapsalme (Six Psaumes), c'est-à-dire des Psaumes 3, 37, 62, 87, 102 et 142, lus dans cet ordre, et réunis dans un seul ensemble.

Les fidèles doivent être conscients du fait que la lecture de l'Hexapsalme est l'un des points les plus importants des Vigiles, un temps où tous doivent mettre de côté les pensées profanes, se calmer, et se concentrer sur ces prières de pénitence. La lecture ne constitue pas une pause dans les services divins, une période pendant laquelle [on peut] aller faire une promenade à l'extérieur, ou parler à son voisin. C'est l'un des moments les plus sacrés dans l'ensemble des Vigiles.

Les Six Psaumes comprennent une gamme entière d'expériences qui illuminent la vie chrétienne du Nouveau Testament - et pas seulement son humeur joyeuse dans l'ensemble, mais aussi le chemin douloureux de cette joie.

C'est pourquoi selon les rubriques de l'Eglise, les cierges dans l'église doivent être éteints. L'obscurité tombée symbolise le plus fort de la nuit au cours de laquelle le Christ, loué dans le chant des anges: "Gloire à Dieu au plus haut des cieux", est venu sur terre. La semi-obscurité de l'église facilite grandement la concentration dans la prière.

Dans son livre référence qui fait autorité Le Nouveau Testament, ou Explications de l'Église, de la Liturgie, et de tous les offices de l'Église et de ses meubles, publié à Saint-Pétersbourg en 1908, Vladika Benjamin de Nijegorod et Arzamas explique l'extinction des cierges pendant l'Hexapsalme de cette façon: "Selon le typicon, au cours de cette lecture les cierges sont éteints. Ceci est fait afin que nous, incapables de voir quoi que ce soit de nos yeux, nous puissions écouter les Six Psaumes avec attention et crainte [de Dieu] et afin que tout le monde debout dans le noir, puisse verser une larme et exhaler un soupir. Car la nuit, et s'il n'y a pas de cierge allumé à proximité, il est difficile pour les gens de se voir les uns les autres. C'est pour cette raison que le typicon l'ordonne: ainsi on prononce le Six psaumes avec toute notre attention et la crainte de Dieu, comme si l'on conversait avec notre Dieu invisible le Christ Lui-même, et en priant sur nos péchés. "

Au milieu de l'Hexapsalme, au début du 4e psaume, le plus rempli de tristesse et d'amertume extrême, le prêtre quitte l'autel et, debout devant les Portes Royales, continue à lire tranquillement les 12 prières  "matinales" prévues. À ce moment, le prêtre symbolise le Christ, qui, après avoir entendu la douleur de l'humanité déchue, non seulement descendit [sur terre], mais à la fin partagea également les souffrances dont parle le Psaume 87.

Les prières "matinales" tranquillement lues par le prêtre incluent des prières pour les chrétiens qui se tiennent dans l'église, demandant que soient pardonnés leurs péchés, qu'il leur soit donné la vraie foi et un amour sincère, que toutes leurs œuvres soient bénies, et qu'ils soient rendus dignes du Royaume des Cieux.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
http://www.stjohndc.org/Russian/what/e_SixPsalms.htm

Hésychie (305)




Dans ce monde sans pitié
Parle avec le cœur
Ecoute avec toute ton âme
Et réponds avec la prière


上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

lundi 18 octobre 2010

La recherche de la sécurité par la prière





Beaucoup se demandent pourquoi la prière de Jésus est si importante. Elle n'est pas destinée comme de nombreuses pratiques de méditation orientale à apprendre à acquérir un état de béatitude ou quelque expérience psychique. Le but est de garder notre âme reliée à Dieu afin que nous puissions vivre selon sa volonté.

Le staretz Païssios en parle ainsi:
L'âme doit être toujours prête, alerte et toujours en contact avec le quartier général spirituel, c'est-à-Dieu. Alors seulement, elle se sentira en sécurité, pleine d'espoir et de joie.

Lorsque nous apprenons à prier sans cesse, nous obtenons un sentiment de sécurité parce que Dieu est toujours avec nous pour nous guider et nous aider dans n'importe quelle situation que nous rencontrons. Nous ne sommes jamais obligés de nous en remettre uniquement à nos propres pensées et à notre propre raison, mais nous avons toujours Dieu à nos côtés.

Le staretz dit:
Plus nous prions, le plus nous nous sentons en sécurité, sur une base spirituelle, bien sûr.


Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

Hésychie (304)



Si ta prière
N'est pas étayée par tes actes
Elle est une belle parole vide
Qui ne dit rien ni à Dieu ni aux hommes

上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

dimanche 17 octobre 2010

ORTHOPRAXY/ Site de Confession Personnelle: Je ne suis rien - Et vous?





Quand un moine dit: "Je ne suis rien", je pense qu'il dit, ce que je suis et ce que je pense que je suis, dans mes passions, ne sont pas du même ordre. De même, quand il dit: "J'ai rien fait de bon" ou "ce que j'ai fait n'est rien", je pense qu'il dit que ce qu'il a fait et ce qu'il voit qu'il doit faire sont si éloignés, qu'il n'y a pas de comparaison. C'est la même chose, en quelque sorte, comme quand on dit que si Dieu existe, je n'existe pas, et vice versa. Il n'y a aucune analogie entre la contingence et la Sainte-Trinité. Dire "je ne suis rien" n'est pas nier que Dieu m'a créé, ni que Dieu m'aime. C'est dire que tout ce que j'ai attribué au «je», tout à fait à tort, n'a aucune analogie avec ce que je suis vraiment conçu pour être - nous sommes créés à l'image indélébile de Dieu, mais la ressemblance de Dieu est quelque chose d'accessible uniquement par le biais de la theosis [Déification]. Quelque part entre ces lignes, la mort s'est infiltrée dans tous mes efforts, mes meilleures intentions, mes risons en apparence "pures".

Un gâteau n'est pas terrible parce qu'il est tombé. Mais ce n'est pas ce que nous entendons, exactement, par «gâteau», et ce n'était pas l'intention pour ce gâteau en particulier. Il se pourrait qu'il soit délicieux. Il pourrait être merveilleux dans son désordre et son ratage. Mais ce n'est pas un gâteau, pas vraiment. Comme gâteau, c'est nada. Et c'est parce qu'un gâteau est bien plus que simplement sa forme, ou son goût, ou l'un quelconque des composants - c'est la somme beaucoup plus importante de l'ensemble.

Nous pourrions faire les choses bien, et ainsi penser que nous sommes «bons», selon un ordre de pensée. Mais dire en même temps que ce que nous appelons «bon» n'est rien, c'est dire tout simplement qu'il n'y a pas d'analogie entre Dieu et l'homme. Je peux atteindre le bien seulement d'une manière brisée. Je ne peux devenir bon que de cette façon. Mais cette brisure n'est analogue en aucune manière à l'ensemble que nous étions censés être, sans être troublés par la mort. Ce tout, est plus que les pièces que nous voyons brisées, comme si les rafistolages créaient ce que Dieu avait à l'esprit, et encore moins le rendaient divin. "Je ne suis rien" signifie "il y a d'autres mondes en dehors de ceux-ci", que tout n'est pas de cet ordre, tout n'est pas sujet à la mort - tout que je vois. En ce sens, "je ne suis rien" est l'expression par excellence de la foi elle-même.

Je ne suis rien, veut dire qu'étant à l'image de Dieu ne confère pas, dans cette mort qui consumme tout ce qui est, la piété. L'image et la ressemblance, précisément par l'épée de séparation de la mort, sont devenus déconnectées, jetées dehors, si loin qu'il n'y a plus aucune analogie.

Lorsque nous lisons dans les Écritures, "si je n'ai pas la charité, bien que je déplace les montagnes, je ne suis rien" et que nous entendons tous les moines nier qu'ils ont la charité, en disant: "Je n'ai pas aimé", "je n'aime pas", "je ne sais rien de l'amour - je n'ai pas réussi à aimer" ", cela signifie que ce qu'ils ont accompli de l'amour est si éloigné de l'amour dont Dieu nous parle et l'a révélé dans le Christ, est si peu analogue, ils sont seulement consistants avec eux-mêmes, et c'est la même chose pour eux que de dire "je ne suis rien" exactement pour les mêmes raisons. Tout ce que je suis, est si éloigné de ce que je suis censé être et ce que le Christ est vraiment, et un jour par le biais de la theosis, je pourrais être en Christ, mais je dis aujourd'hui: "Je ne suis rien".

L'erreur que le vulgaire fait en général, est de penser à toutes les choses sont du même ordre, ce qui fait de Dieu seulement un forme plus élevée d'aubergine. Mais ces moines diraient que c'est si éloigné que si je devais attribuer un «ordre» des choses, Dieu ne serait pas d'aucun ordre, et vice versa. Car dire "je ne suis rien" n'est pas si différent que de parler de l'obscurité de l'inconnaissance, ou alternativement que Dieu, "habite une lumière inaccessible" - ces choses, encore une fois, souligner simplement l'échec de l'analogie entre l'ordre créé et la Sainte-Trinité. 

En effet, la vie que saint Paul décrit ("Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas"[Rm ]") est une autre façon de dire non pas qu'il ne n'a pas fait de bonnes choses, mais que le bien de ces choses est si loin du bien vers lequel il s'efforce, que ce n'est pas le bien que nous faisons, ou pensons, ou que nous sommes, qui est en question à partir des mots "Je ne suis rien", mais plutôt la limitation de notre propre vision du bien, parce que le seul bien que nous voyons est le bien accessible à cet ordre créé, cette contingence, cette sphère de l'existence qui tourne autour de la Mort.

La vision que les moines ont des choses est au-delà de l'ordre créé. Ils disent que par rapport à l'ensemble de mon mieux et de ce que je suis dans la contingence (qui est pour toujours) et dans la mort (ce qui ne l'est pas), d'autres l'autre est tout, et je ne suis rien. Ceci est mal écrit, et je ne suis pas un savant. Je ne suis pas vraiment en mesure de dire ce qu'est la vision qu'ont les moines . Parce que je les écoute, ne signifie pas que je peux vous dire ce dont ils parlent. Seul quelqu'un qui a vu ce qu'ils peuvent voir peut en parler. Même le répéter, c'est perdre quelque chose dans la «traduction», le sens; quand je le fais - cela va le recontextualiser et le réduire et même en abuser. Alors pardonnez-moi si j'ai commis une erreur. Ce blog est une manière de regarder et d'essayer d'écouter et de se souvenir et de penser, bien plus qu'il n'est une tentative de dire quelque chose à quelqu'un. Je me rends compte que ce n'est pas conventionnel - c'est seulement ce qui fonctionne pour moi.


Version française Claude Lopez-Ginisty 
d'après

Saint Théophane le Reclus

Vie de saint Théophane le Reclus 
sur

Hésychie (303)




Mère de Dieu Très Pure
Je suis Ton fils prodigue
Accorde-moi Ta compassion
Et Ta maternelle protection

上帝的朋友 ( L'ami de Dieu)

Chant byzantin (Psaume)