Après des décennies, une curieuse ligne de faille géopolitique a été mise au jour entre les nations laïques/consuméristes et celles qui s'efforcent de conserver ou de tenter de retrouver leurs origines chrétiennes.
L'extrait suivant est tiré d'un discours prononcé en septembre 1974 par Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État de Nixon. La thèse de ce discours concernait le caractère grincheux du peuple grec, et la façon dont ses dos devaient être brisés pour qu'un "nouvel ordre mondial" (pour ainsi dire) puisse avoir lieu.
Le fondement d'un Grec est sa culture et le fondement de sa culture est sa religion. Sommes-nous arrivés au point où l'Église de Grèce a accédé à ses souhaits ? L'Église de Grèce nous a-t-elle livrés entre les mains des mondialistes ?
Monomakhos
"Le peuple grec est anarchique et difficile à dompter. C'est pourquoi nous devons nous enfoncer profondément dans leurs racines culturelles : Peut-être pourrons-nous alors les forcer à se conformer.
Je veux dire, bien sûr, de s'attaquer à leur langue, à leur religion, à leurs réserves culturelles et historiques, afin que nous puissions neutraliser leur capacité à se développer, à se distinguer ou à prévaloir, les éliminant ainsi comme un obstacle à nos plans stratégiques vitaux dans les Balkans, en Méditerranée et au Moyen-Orient.
Henry Kissinger, s'adressant à un groupe d'hommes d'affaires de Washington, D.C. en septembre 1974, (tel que rapporté dans Oikonomikos Tachydromos, 14 août 1997)
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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