"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

samedi 22 octobre 2011

Dimitri Rogozine: Les russes ne survivront que s'ils deviennent une nation de théophores!



День Святой Троицы 2010 года в Сретенском монастыре. Фото: Антон Поспелов / Православие.Ru

Moscou, 20 Octobre 201/Interfax - Envoyé spécial du Président russe pour l'interaction avec l'OTAN Dimitri Rogozine estime que la Russie cessera d'exister si ses citoyens perdent leurs racines spirituelles.

"Je sais une chose: la nation russe ne peut survivre que si elle cesse d'être une foule d'Ivans amnésiques et, deuxièmement, si cette nation devient une nation de théophores comme l'on dit, c'est-à- dire qui porte Dieu en elle, qui est croyante", a déclaré Rogozine dans sa conversation avec le chef du département synodal pour l'interaction avec les forces armées et les services de maintien de l'ordre, l'archiprêtre Dimitri Smirnov dans le cadre des programmes du prêtre postés sur son vidéoblog.

Le politicien a rappelé qu'il était impliqué dans la libération des otages en Tchétchénie en 1996-1999 et de leurs histoires a tiré la conclusion que seuls ont survécu ceux qui "ont réussi à être digne, qui ont gardé Dieu en eux," et tous ces gens étaient des croyants orthodoxes et "ils savaient la chose la plus importante- ils ont gardé la foi".

Selon lui, l'un des otages, un homme de 72 ans, lui a dit qu'il a passé 14 mois dans un trou sous une maison d'habitation.

"Il dit qu'il n'a survécu que parce qu'il a demandé qu'on lui trouve des Evangiles, et quand ces criminels, appelez-les bêtes, ont vu qu'il était croyant, ils ont sauvé sa vie. Et ils ont tué tous ceux qui avaient perdu Dieu, et qui s'agenouillaient devant eux", a déclaré Rogozine.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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