Le massacre des saints innocents
"Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal ; qui mettent les ténèbres pour la lumière et la lumière pour les ténèbres ; qui mettent l'amer pour le doux et le doux pour l'amer !" Isaïe 5:20
Washington, l'Oregon, New York et la Californie permettent le meurtre des nouveau-nés. Appelé avortement tardif, c'est en réalité le meurtre d'enfants nouveau-nés. Que les États-Unis aient abaissé le niveau moral et spirituel pour permettre l'holocauste de nos propres enfants, c'est incroyable.
Je ne vois absolument aucune différence entre le massacre nazi d'hommes, de femmes et d'enfants innocents et le fait de prendre la vie d'un enfant par avortement. Abandonner des enfants aux premiers stades de leur développement est odieux. Le fait que des millions étaient avortés simplement pour la commodité de la mère était encore pire. Et maintenant, on nous dit que c'est non seulement acceptable, mais aussi un choix célébré de mettre fin à la vie d'un enfant à terme. C'est un mal pur et inaltéré.
Comme jeune homme grandissant dans une église luthérienne allemande à Spokane, WA. J'ai prié Dieu pour qu'il me donne le courage de dénoncer le massacre d'innocents par les nazis si j'avais été en vie pendant la Seconde Guerre mondiale. Comment quelqu'un qui dit qu'il aime Dieu peut-il ignorer le sort des millions d'enfants qui sont assassinés chaque année ? Devons-nous garder le silence, comme tant d'Allemands sous les nazis, ou devons-nous être audacieux dans notre refus de garder le silence sur ce nouvel holocauste ?
Il n'y a absolument aucune différence entre permettre à un nouveau-né de mourir seul sur une table d'hôpital et l'holocauste perpétré par les Nazis. L'avortement et l'infanticide n'ont pas leur place dans un pays qui accorde autant d'importance aux droits de la personne, aux droits des gays, aux droits des femmes et aux droits des immigrants. Nous devons nous réveiller au mal qui a pris notre pays, et nous devons dénoncer ce mal.
Avec amour en Christ,
Abbé Tryphon
Version Française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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