orphelins de Russie
Père Lev Bolchakov, paroisse de Kondopoga, Carélie
Chers amis de l'ACER-RUSSIE,
Les conditions de vie des enfants sans soutien familial sont difficiles pendant le long hiver glacial de Carélie. Chaque jour, notre paroisse nourrit un groupe d'enfants qui atteint 50 à 60 enfants et adolescents le week-end. Lors des fêtes, comme Pâques qui approche, nous en avons de 100 à 120. Chaque week-end, nous emmenons un petit groupe d'une quinzaine d'enfants dans la datcha de la paroisse. C'est un moment privilégié où ils arrivent mieux à parler de leurs problèmes et à se détendre. Nous réussissons maintenant à financer nous-mêmes le transport, le chauffage et les charges de la datcha comme de la maison paroissiale de Kondopoga, mais il nous manque de l'argent pour nous procurer des produits alimentaires. Nous avons de plus en plus d'enfants, car, comme je vous l'ai écrit dans une précédente lettre, la municipalité nous envoie maintenant des enfants dont elle ne peut plus s'occuper !
Nous savons pouvoir compter sur vous et vous en remercions. Que Dieu vous garde !
Selon une enquête* réalisée en 2009 auprès de 13,5 millions d’enfants scolarisés, seulement 20,8% d’entre eux sont en bonne santé. Les enfants les plus durement touchés sont les orphelins et ceux qui sont livrés à eux-mêmes. Parmi les recommandations du ministère, une alimentation saine et abondante est préconisée.
*Rapport gouvernemental « Sur la situation des enfants dans la Fédération de Russie », 2011
Les associations Upsala-tsirk, Saint-Ioassaff etMiloserdie detiam affrontent les mêmes problèmes.
Chers amis de l'ACER-RUSSIE,
Les conditions de vie des enfants sans soutien familial sont difficiles pendant le long hiver glacial de Carélie. Chaque jour, notre paroisse nourrit un groupe d'enfants qui atteint 50 à 60 enfants et adolescents le week-end. Lors des fêtes, comme Pâques qui approche, nous en avons de 100 à 120. Chaque week-end, nous emmenons un petit groupe d'une quinzaine d'enfants dans la datcha de la paroisse. C'est un moment privilégié où ils arrivent mieux à parler de leurs problèmes et à se détendre. Nous réussissons maintenant à financer nous-mêmes le transport, le chauffage et les charges de la datcha comme de la maison paroissiale de Kondopoga, mais il nous manque de l'argent pour nous procurer des produits alimentaires. Nous avons de plus en plus d'enfants, car, comme je vous l'ai écrit dans une précédente lettre, la municipalité nous envoie maintenant des enfants dont elle ne peut plus s'occuper !
Nous savons pouvoir compter sur vous et vous en remercions. Que Dieu vous garde !
Selon une enquête* réalisée en 2009 auprès de 13,5 millions d’enfants scolarisés, seulement 20,8% d’entre eux sont en bonne santé. Les enfants les plus durement touchés sont les orphelins et ceux qui sont livrés à eux-mêmes. Parmi les recommandations du ministère, une alimentation saine et abondante est préconisée.
*Rapport gouvernemental « Sur la situation des enfants dans la Fédération de Russie », 2011
Les associations Upsala-tsirk, Saint-Ioassaff etMiloserdie detiam affrontent les mêmes problèmes.
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