Mère Galaktia
de bienheureuse mémoire
Elle nous a dit le 25 mars 2021 :
(Ces paroles ont été entendues par cinq personnes et je les ai immédiatement communiquées aux Métropolites qui la respectent et l'aiment).
" Je m'en vais. Je voulais rester afin de réaliser d'abord un certain souhait de ma part, mais je peux le faire à partir de là. J'ai dit au Grand Maître : 'S'il Te plaît, prends-moi maintenant ! Je ne veux pas avoir des honneurs pour ma misérable condition."
Je lui ai demandé :
"Qu'a-t-il dit ?"
"Nous verrons bien."
Elle s'est adossée tranquillement, sans aucun signe particulier le reste du temps.
Le samedi à midi, elle m'a dit spontanément :
"Penche-toi pour que je t'embrasse. Que tu aies ma bénédiction aussi longtemps que tu vivras et après la mort ! Et quoi que tu entendes, garde la bouche fermée."
Elle a dit aux dames qui se sont portées volontaires pour la servir :
"Je m'en vais ! Le moment est venu ! Les difficultés arrivent... !"
Puis elle a dit deux fois :
"La mort ! La mort est une naissance dans les cieux !"
Ce furent ses dernières paroles.
Je vous assure sur mon sacerdoce de ce qui suit :
Elle nous a laissé un ordre strict :
"Je ne veux pas beaucoup de prêtres à mes funérailles. Qu'ils y assistent, mais seuls mes deux enfants m'enterreront : le père Antonios et le père Stylianos. Je ne veux pas de fleurs. Je mourrai à une époque où il y a beaucoup de fleurs. Cela suffit. Qu'il y ait peu de gens, et il y en aura peu. C'est suffisant pour ma grande indignité. Commémorez-moi seulement, car j'en ai grand besoin. Et toi mon enfant Antoine, tu t'engageras de ton vivant à commémorer mes défunts."
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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