Quand l'intellect commence à progresser dans l'amour pour Dieu, le démon du blasphème commence à le tenter, suggérant des pensées telles qu'aucun homme, mais que seul le Diable pouvait [...] inventer. Il le fait par envie, de sorte que l'homme de Dieu, dans son désespoir à la pensée de telles pensées, n'ose plus s'élever vers Dieu dans sa prière habituelle. Mais le Démon n'arrive pas encore à ses propres fins par ce moyen. Au contraire, il nous rend plus endurants. Car par ses attaques et nos représailles, nous devenons plus expérimentés et plus authentiques dans notre amour pour Dieu. "(Deuxième centurie sur l'amour, 14.)
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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