Sur le blog du moinillon, tous les jours...
Saint Diadoque de Photicé : Les propos ascétiques. Cent chapitres.
propos ascétiques XXIII
Par ptit moine le vendredi 11 juillet 2008, 06:00 - sentences
Nul ne peut aimer ou croire vraiment, s'il trouve en lui-même un accusateur. En effet, lorsque notre conscience est troublée par les reproches qu'elle s'adresse à elle-même, l'esprit ne peut plus sentir l'odeur des biens supraterrestres, mais il se trouve aussitôt déchiré dans une situation d'incertitude : d'une part, du fait de son expérience antérieure, il tend vers la foi dans un élan chaleureux, mais d'autre part, il est empêché de l'atteindre par l'amour dans la perception du cœur, à cause de l'aiguillon de sa conscience qui le blâme, comme je l'ai dit.
Lire la suite... sur le site du moinillion
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire