La confession est un commandement donné par Dieu, et c'est l'un des sacrements de notre Église. La confession n'est pas un acte formel, habituel ( "pour être tranquille", ou "en vue des jours de fête à venir"), forcé et sans préparation, venant d'un devoir ou d'une obligation isolés et uniquement pour [accorder] un soulagement psychologique . La confession doit toujours être combinée à la repentance.
Un saint staretz de la Sainte Montagne avait coutume de dire: "Beaucoup se confessent, mais peu se repentent! (Staretz Aemilianos du monastère de Simonopetra, sur la Sainte Montagne). La repentance est un processus interne de contrition et de regret librement voulu, que nous éprouvons pour nous être éloignés de Dieu par le péché.
Le vrai repentir n'a rien à voir avec la douleur intolérable, le chagrin excessif et les implacables sentiments de culpabilité. Ceci ne serait pas le repentir sincère, mais un égoïsme secret, un sentiment que notre «moi» est foulé aux pieds; une colère qui s'adresse à notre moi, qui alors demande vengeance, car il est démasqué et couvert de honte - chose qu'il ne peut pas tolérer.
La repentance signifie un changement dans nos pensées, notre mentalité, c'est une volte-face, c'est une greffe de moralité et un sentiment d'horreur du péché. Le repentir, signifie aussi un amour de la vertu, la bienveillance, et un désir, une volonté et une forte disposition à être réunis au Christ par la grâce de l'Esprit Saint Omnipotent. La repentance commence dans les profondeurs du cœur, mais elle aboutit nécessairement dans le sacrement de la Confession divine et de sacrée.
Un saint staretz de la Sainte Montagne avait coutume de dire: "Beaucoup se confessent, mais peu se repentent! (Staretz Aemilianos du monastère de Simonopetra, sur la Sainte Montagne). La repentance est un processus interne de contrition et de regret librement voulu, que nous éprouvons pour nous être éloignés de Dieu par le péché.
Le vrai repentir n'a rien à voir avec la douleur intolérable, le chagrin excessif et les implacables sentiments de culpabilité. Ceci ne serait pas le repentir sincère, mais un égoïsme secret, un sentiment que notre «moi» est foulé aux pieds; une colère qui s'adresse à notre moi, qui alors demande vengeance, car il est démasqué et couvert de honte - chose qu'il ne peut pas tolérer.
La repentance signifie un changement dans nos pensées, notre mentalité, c'est une volte-face, c'est une greffe de moralité et un sentiment d'horreur du péché. Le repentir, signifie aussi un amour de la vertu, la bienveillance, et un désir, une volonté et une forte disposition à être réunis au Christ par la grâce de l'Esprit Saint Omnipotent. La repentance commence dans les profondeurs du cœur, mais elle aboutit nécessairement dans le sacrement de la Confession divine et de sacrée.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
IMPANTOKRATOROS
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