3. "Vous avez mangé de la
viande avec nous hier soir donc vous ne pouvez pas recevoir les Mystères
aujourd'hui."
J'ai même déjà rencontré des
prêtres qui avaient mangé avec des laïcs à la veille de la Liturgie, mais qui
communiaient en chassant les laïcs avec lesquels ils avaient mangé et bu la
veille. L'esprit de cette réglementation est, encore une fois, trouvé dans une
préparation appropriée pour l'Eucharistie: on ne doit pas "faire la fête
profane" la nuit avant l'accueil de l'Eucharistie. Bien sûr, si l'on a «bien
fait la fête» la veille de la
Liturgie, il faut s'abstenir de recevoir l'Eucharistie; Cependant, si l'on
partage simplement un repas normal du samedi soir, cela ne devrait pas être un
obstacle.
Tout le monde ne comprend pas « l’esprit» de la réglementation,
qui doit également être reconnu humblement sans jugement, ce qui peut amener
certains individus à sentir que manger, même dans le but de se maintenir, n'est
pas autorisé. En outre, il y a aussi ceux-ci étendent le règlement
qui stipule que rien ne doit être pris par la bouche à partir de minuit la nuit
avant que l'on ne reçoive l'Eucharistie au N-ième degré, ce qui interdit que
rien ne soit mis en bouche, pas
seulement à partir de minuit, mais pour une période plus longue.
Ce n'est que
mon avis, mais si l'on s'associe à des individus qui croient que manger à la
veille de l'Eucharistie, sans fête, ni boisson et beuverie, est un obstacle à
la réception de l'Eucharistie, il faut éviter de manger avec ces individus, en optant
pour manger seul, ou pour manger avec ceux, pour ainsi dire, ne sortent pas de
la lettre de la loi.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire