5. Peut-être avez-vous quelque chose à dire sur l’église à Genève dans laquelle vous servez ?
L’église russe de l’Exaltation de la Sainte Croix est la première église orthodoxe établie, par la grâce de Dieu, à Genève depuis maintenant 150 ans.
Elle a ainsi joué un rôle central et fédérateur, jusque dans la deuxième moitié du XXe siècle, pour les orthodoxes de diverses juridictions établis à Genève ou de passage.
En 1946, le patriarcat de Moscou, alors que la tension était grande avec l’Eglise orthodoxe russe hors frontières, installa un lieu culte consacré à la Nativité de la Mère de Dieu et au début des années 70 fut construite l’église grecque de St Paul, dépendant directement du patriarcat de Constantinople. A cela s’ajouta ensuite la création de deux paroisses roumaines.
Aujourd’hui toutefois, malgré l’usage du slavon comme langue liturgique, cette église continue à remplir sa mission d’accueil pour étrangers de passage de différentes nationalités, ainsi que pour l’immigration russe qui n’a cessé d’augmenter depuis maintenant 20 ans. La vie paroissiale y est très active (pour les enfants, comme pour les laïcs, notamment avec l’organisation de pèlerinages).
Je demeure, bien sûr, très reconnaissant à cette église de m’avoir accueilli dans l’Orthodoxie, et infiniment à Dieu de m’avoir accordé, à moi indigne, d’accéder au service de l’hypodiaconat.
Puisse-t-Il continuer à la combler de grâces et de bénédictions dans les années à venir.
L’église russe de l’Exaltation de la Sainte Croix est la première église orthodoxe établie, par la grâce de Dieu, à Genève depuis maintenant 150 ans.
Elle a ainsi joué un rôle central et fédérateur, jusque dans la deuxième moitié du XXe siècle, pour les orthodoxes de diverses juridictions établis à Genève ou de passage.
En 1946, le patriarcat de Moscou, alors que la tension était grande avec l’Eglise orthodoxe russe hors frontières, installa un lieu culte consacré à la Nativité de la Mère de Dieu et au début des années 70 fut construite l’église grecque de St Paul, dépendant directement du patriarcat de Constantinople. A cela s’ajouta ensuite la création de deux paroisses roumaines.
Aujourd’hui toutefois, malgré l’usage du slavon comme langue liturgique, cette église continue à remplir sa mission d’accueil pour étrangers de passage de différentes nationalités, ainsi que pour l’immigration russe qui n’a cessé d’augmenter depuis maintenant 20 ans. La vie paroissiale y est très active (pour les enfants, comme pour les laïcs, notamment avec l’organisation de pèlerinages).
Je demeure, bien sûr, très reconnaissant à cette église de m’avoir accueilli dans l’Orthodoxie, et infiniment à Dieu de m’avoir accordé, à moi indigne, d’accéder au service de l’hypodiaconat.
Puisse-t-Il continuer à la combler de grâces et de bénédictions dans les années à venir.
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