4. Comment est la vie religieuse en Suisse ?
Je ne me considère pas comme habilité pour répondre à cette question, si ce n’est pour dire qu’en Suisse, jusqu’ici, règne une grande tolérance pour la pratique de l’ensemble des religions.
En ce qui concerne l’Orthodoxie, par la grâce de Dieu, plusieurs lieux de culte de diverses juridictions ont pu voir le jour dans le pays depuis une trentaine d’années pour répondre aux besoins de l’immigration et également des nouveaux convertis. Ceux-ci constituent toutefois un phénomène limité en nombre qui ne justifie pas à lui seul l’ouverture de nouvelles églises.
Si les villes de Genève, Vevey, Berne et Zurich, ou le monastère de la Sainte Trinité à Dompierre, ont leur propre église où la liturgie se célèbre régulièrement, ailleurs il n’y a pas de possibilité de célébrer régulièrement des offices ni de bénéficier d’un lieu de prière en propre, dans ce cas il faut louer une salle ou bénéficier de l’accueil d’une paroisse hétérodoxe.
Evidemment, dans un pays occidental comme la Suisse, l’Orthodoxie a le statut de religion étrangère, accueillie comme un hôte (…un peu exotique).
A Genève en particulier (puisque que la Suisse est une confédération), les manifestations religieuses publiques – telles qu’une procession, par exemple, ou sonner les cloches la nuit de Pâque du calendrier julien - ne sont pas autorisées.
Mais d’une manière générale, si ce n’est que la religiosité en général reste très discrète dans un pays occidental et laïc comme la Suisse et que l’Europe progresse chaque année davantage dans la déchristianisation de la société, l’Orthodoxie – dans la mesure où elle n’est pas liée à de l’actualité politique – est relativement bien tolérée …pour l’instant.
Je ne me considère pas comme habilité pour répondre à cette question, si ce n’est pour dire qu’en Suisse, jusqu’ici, règne une grande tolérance pour la pratique de l’ensemble des religions.
En ce qui concerne l’Orthodoxie, par la grâce de Dieu, plusieurs lieux de culte de diverses juridictions ont pu voir le jour dans le pays depuis une trentaine d’années pour répondre aux besoins de l’immigration et également des nouveaux convertis. Ceux-ci constituent toutefois un phénomène limité en nombre qui ne justifie pas à lui seul l’ouverture de nouvelles églises.
Si les villes de Genève, Vevey, Berne et Zurich, ou le monastère de la Sainte Trinité à Dompierre, ont leur propre église où la liturgie se célèbre régulièrement, ailleurs il n’y a pas de possibilité de célébrer régulièrement des offices ni de bénéficier d’un lieu de prière en propre, dans ce cas il faut louer une salle ou bénéficier de l’accueil d’une paroisse hétérodoxe.
Evidemment, dans un pays occidental comme la Suisse, l’Orthodoxie a le statut de religion étrangère, accueillie comme un hôte (…un peu exotique).
A Genève en particulier (puisque que la Suisse est une confédération), les manifestations religieuses publiques – telles qu’une procession, par exemple, ou sonner les cloches la nuit de Pâque du calendrier julien - ne sont pas autorisées.
Mais d’une manière générale, si ce n’est que la religiosité en général reste très discrète dans un pays occidental et laïc comme la Suisse et que l’Europe progresse chaque année davantage dans la déchristianisation de la société, l’Orthodoxie – dans la mesure où elle n’est pas liée à de l’actualité politique – est relativement bien tolérée …pour l’instant.
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