Histoires
venant du courrier à l'éditeur du site Pravoslavie.ru
"Tout
a commencé avec la gorge, et le nez qui coule."
Igor
K.
Je
suis tombé malade avec un mauvais rhume. Comme d'habitude, tout a commencé avec
ma gorge et le nez qui coule. Ensuite, le virus a commencé à descendre aux
bronches et à la poitrine, ce qui provoque une toux humide. Habituellement,
dans une telle situation une semaine ou deux de repos au lit est prescrit. Il s’est
avéré que j'avais sous la main, de l’huile bénie sur les reliques du Père Ambroise.
C’était un cadeau d'un moine, novice du monastère de Kazan, après son
pèlerinage à Optina.
Je
lus la règle de prière du soir et je priai le Père Ambrose et j’oignis d'huile
sur ma gorge et ma poitrine qui me faisaient mal.
Au
matin, je ne ressentis pas la moindre gêne!
Gloire
à Dieu pour ses saints! Vénérable Père Ambroise, prie Dieu pour nous!
* *
*
«Mes
collègues me détestaient."
P.
B. Anna
Il y
a quelques années, en Janvier 2007, je fus frappée par une série de problèmes au
travail. A cette époque, je travaillais avec une jeune et jolie équipe: la
personne la plus âgée dans notre département avait 37 ans, le reste (des femmes
seulement) n’avait pas encore 30 ans.
L'une
de ces jeunes filles concocta quelques potins sur moi, que tout le monde crut.
Ils m’accusaient derrière mon dos de certains terribles péchés de cafarder et
calomnier comme si j’allais vers le patron et lui faisait rapport de qui faisait
quoi, ou plutôt comme si je lui disais que tout le monde était paresseux. Je n’ai
jamais eu tous les détails de la rumeur, mais tous mes collègues ensemble
acceptèrent de me haïr.
Je
peux ressentir cette ancienne blessure même maintenant, après tant d'années! Je
ne comprenais pas ce qui causait ce silence, ce mépris glacial, mais quand je l'ai
découvert, j'étais en état de choc! J'ai essayé d'expliquer quelque chose et de
prouver que j'étais innocente, mais ils ne m’ont même pas écoutée. Ils m’ont
juste ignorée - boycottée. Je pleurais à la maison le matin, ne voulant pas aller
au travail. Je n'avais qu'un seul désir: partir! Mais je ne pouvais pas partir,
pour des raisons matérielles.
Et
donc, en désespoir de cause total, je suis allée à l'église pour me consoler.
C’était l'église de l'Ascension, rue Bolshaya Nikitskaya, non loin de mon
travail à ce moment-là. Je suis allée à l'intérieur. Il n'y avait pas de
service. Je priai, j’allumai des cierges et j’ai jeté un œil sur les livres
vendus. J'ai acheté l'un d'eux. C’était un livre de poche de saint Ambroise
d'Optina: La vie, La Science du Salut,
Alphabet Spirituel. Je dois dire que, à ce moment-là, je ne savais pas
grand-chose de Batiouchka Ambroise. Je ne sais pas pourquoi j'ai acheté le
livre.
Mais
quand je commençai à le lire, je perçus chaque parole de plusieurs des dits du
staretz Ambroise comme si elle m’était adressée personnellement, et concernaient
ma situation. Je ne peux même pas décrire combien j’ai commencé à me sentir
légère et bien. Peu à peu je me suis calmée. Chaque jour, je lisais ce livre, contactant
mentalement Père Ambroise. Et qu’est-il arrivé? Peu à peu, cette situation, qui
me déprimait tant, disparut, et mes collègues s’excusèrent même!
Mais
même avant cela, je ne m’en souciais plus : j’avais une telle paix de l'âme!
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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