"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

samedi 29 octobre 2016

AIDE MIRACULEUSE DE SAINT AMBROISE D’OPTINA DE NOS JOURS (1)



Histoires venant du courrier à l'éditeur du site Pravoslavie.ru

"Tout a commencé avec la gorge, et le nez qui coule."
Igor K.

Je suis tombé malade avec un mauvais rhume. Comme d'habitude, tout a commencé avec ma gorge et le nez qui coule. Ensuite, le virus a commencé à descendre aux bronches et à la poitrine, ce qui provoque une toux humide. Habituellement, dans une telle situation une semaine ou deux de repos au lit est prescrit. Il s’est avéré que j'avais sous la main, de l’huile bénie sur les reliques du Père Ambroise. C’était un cadeau d'un moine, novice du monastère de Kazan, après son pèlerinage à Optina.

Je lus la règle de prière du soir et je priai le Père Ambrose et j’oignis d'huile sur ma gorge et ma poitrine qui me faisaient mal.

Au matin, je ne ressentis pas la moindre gêne!

Gloire à Dieu pour ses saints! Vénérable Père Ambroise, prie Dieu pour nous!

* * *

«Mes collègues me détestaient."
P. B. Anna

Il y a quelques années, en Janvier 2007, je fus frappée par une série de problèmes au travail. A cette époque, je travaillais avec une jeune et jolie équipe: la personne la plus âgée dans notre département avait 37 ans, le reste (des femmes seulement) n’avait pas encore 30 ans.

L'une de ces jeunes filles concocta quelques potins sur moi, que tout le monde crut. Ils m’accusaient derrière mon dos de certains terribles péchés de cafarder et calomnier comme si j’allais vers le patron et lui faisait rapport de qui faisait quoi, ou plutôt comme si je lui disais que tout le monde était paresseux. Je n’ai jamais eu tous les détails de la rumeur, mais tous mes collègues ensemble acceptèrent de me haïr.

Je peux ressentir cette ancienne blessure même maintenant, après tant d'années! Je ne comprenais pas ce qui causait ce silence, ce mépris glacial, mais quand je l'ai découvert, j'étais en état de choc! J'ai essayé d'expliquer quelque chose et de prouver que j'étais innocente, mais ils ne m’ont même pas écoutée. Ils m’ont juste ignorée - boycottée. Je pleurais à la maison le matin, ne voulant pas aller au travail. Je n'avais qu'un seul désir: partir! Mais je ne pouvais pas partir, pour des raisons matérielles.

Et donc, en désespoir de cause total, je suis allée à l'église pour me consoler. C’était l'église de l'Ascension, rue Bolshaya Nikitskaya, non loin de mon travail à ce moment-là. Je suis allée à l'intérieur. Il n'y avait pas de service. Je priai, j’allumai des cierges et j’ai jeté un œil sur les livres vendus. J'ai acheté l'un d'eux. C’était un livre de poche de saint Ambroise d'Optina: La vie, La Science du Salut, Alphabet Spirituel. Je dois dire que, à ce moment-là, je ne savais pas grand-chose de Batiouchka Ambroise. Je ne sais pas pourquoi j'ai acheté le livre.

Mais quand je commençai à le lire, je perçus chaque parole de plusieurs des dits du staretz Ambroise comme si elle m’était adressée personnellement, et concernaient ma situation. Je ne peux même pas décrire combien j’ai commencé à me sentir légère et bien. Peu à peu je me suis calmée. Chaque jour, je lisais ce livre, contactant mentalement Père Ambroise. Et qu’est-il arrivé? Peu à peu, cette situation, qui me déprimait tant, disparut, et mes collègues s’excusèrent même!

Mais même avant cela, je ne m’en souciais plus : j’avais une telle paix de l'âme!

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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