"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

mardi 16 juin 2009

Miracle de saint Pantéléimon




J'avais mal au bras depuis 1920. Une plaie était apparue sur une veine et avait grandi rapidement. J'allais voir le médecin, il pansait la blessure, le lendemain, le bandage était enlevé et la plaie (ronde, comme pour l'herpès) était plus grande et plus profonde. Enfin, le médecin a dit il n'y avait pas de recours: le mal allait pénétrer dans la veine, et j'aurais une intoxication du sang. Il a refusé de me traiter. Que devais-je faire? Je suis allé à la rue Nikolskaya, à la Chapelle du mégalomartyr Pantéléimon... Le moine qui était là est venu vers moi et a délicatement demandé ce qui n'allait pas, et pourquoi je pleurais.

- Père, mon bras me fait mal, le médecin a refusé de me soigner et m'a dit que je pouvais mourir bientôt.

Il m'a réconforté avec gentillesse, a pris un peu d'huile des lampades en face des icônes de la Mère de Dieu "Prompte à entendre" et de Saint-Panteleimon, m'en a donné un peu à boire avec une cuillère, et a mis de l'huile sur la plaie sous le pansement. Il m'a donné une petite bouteille d'huile à prendre avec moi, aussi.

Dans la matinée, j'ai enlevé le bandage: quel miracle! Au lieu de la plaie putride, qui resta sur le bandage, une peau rose était apparue. Des larmes de gratitude et d'affection ont coulé de mes yeux. Je me suis agenouillé devant les icônes et j'ai remercié Dieu.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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