"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

dimanche 20 mai 2018

Miracle de St. Ephrem


Comme l'a raconté S. K., une habitante de Kalamata en 2008 :
"J'avais l'impression d'avoir un rhume, mais je ne suis pas allée chez le médecin.

Parce que ma situation est devenue dangereuse, cependant, au lieu de s'améliorer, j'ai finalement décidé d'y aller. Quand j'y suis allée, j'étais très essoufflée, et il a décidé de faire un scanner des poumons. Quand il l'a lu, il a dit qu'il y avait un problème sérieux, et c'est à partir de cet instant que le drame a commencé.

Il l'a envoyé à l'hôpital "Sotiria", où ils ont fait une bronchoscopie et parce qu'ils ont diagnostiqué un cancer du poumon avancé, ils ont immédiatement commencé la chimiothérapie, parce qu'ils ne me donnaient que vingt jours à vivre. Nous devenions fous à l'époque, mais par chance, mon mari m'a immédiatement emmené au monastère de saint Ephrem à Nea Makri, où nous avons vénéré avec foi et respect les reliques du saint, et nous avons supplié la Toute Sainte Mère de Dieu et le saint de me guérir, parce que j'avais aussi une fille handicapée qui avait besoin de moi.

Ce soir-là, nous sommes rentrés chez nous, et le lendemain matin, j'éprouvais un terrible essoufflement et une douleur insupportable dans la poitrine qui avait gagné mon côté. Je suis allée à la salle de bain, sans réveiller mon mari, et je m'appuyai sur les toilettes parce que j'avais tellement mal. Mes yeux sont tombés sur l'eau bénite du monastère de saint Ephrem. Avec difficulté, je me suis fait le signe de la croix et j'en ai bu. 

Immédiatement, j'ai commencé à gémir et à tousser et de ma bouche est sorti quelque chose comme du foie avec du sang autour. Immédiatement aussi, mon essoufflement et ma douleur ont disparu et j'ai respiré avec soulagement. Je pensais avec joie que la grâce du saint enlevait le cancer, et je bus à nouveau l'eau bénite et je me signai. 

Lorsque j'ai fait une autre tomodensitométrie, mon médecin m'a confirmé que, ô  merveille ! le cancer avait effectivement disparu.

Dès lors, je fais les tests occasionnels que mes médecins prescrivent et ils reviennent tous propres. C'est pourquoi je glorifie la Toute Sainte Mère de Dieu et saint Ephrem, qui m'ont si rapidement accordé la santé.

En remerciement, mon mari a construit une petite chapelle à Saint Ephraïm à N. Messenias.

Version française Claude Lopez-Ginisty 
d'après

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ACATHISTE A SAINT EPHREM

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