Comment devons-nous réagir à
la situation en Syrie, où nous pouvons voir de nombreux meurtres, tortures,
enlèvements de chrétiens, la destruction des lieux saints? C'est une immense et douloureuse blessure dans le cœur des chrétiens partout dans le monde.
C'est un énorme problème,
et il est politique. C'est un signe de la maladie de la société. J'ai des
sentiments très forts envers le nationalisme et la guerre. Je pense que le
nationalisme n'est pas une bonne chose.
Aujourd'hui, que cela nous plaise ou non,
nous vivons dans une réalité mondiale. Combien vous êtes payé au travail, si
oui ou non vous avez l'électricité dans votre maison, si oui ou non vous allez
manger ou boire aujourd'hui ou demain… tout, dépend de l'économie dans le
monde entier. Et pas seulement en Russie. La Russie ne contrôle pas le monde, elle ne se contrôle pas elle-même, nous sommes tous dans ce cas.
Et par conséquent, nous vivons
dans le monde de la réalité, mais nous n'y pensons pas. La raison
pour laquelle la Syrie est sous attaque est maintenant à cause de l'argent, de l'économie, et de la puissance.
C'est parce qu'un groupe veut contrôler le
pétrole et les gens pour obtenir ce qu'il veut. Cela n'a rien à faire avec la religion ou
Dieu. Ces gens ne savent même pas qui est Dieu. Nous nous sommes mis dans
cette situation en jouant à des jeux de contrôle.
Les chrétiens doivent
toujours ressentir de la joie dans leurs âmes, toujours être joyeux. Mais il y a
tellement de problèmes, d'afflictions, de douleur dans le monde et dans nos vies
personnelles.
Absolument, nous devons
toujours être joyeux et reconnaissants. La présence de Dieu est joie. Le
principal signe du christianisme est la joie. Pourquoi voudriez-vous ne pas
être fou de joie si vous êtes connecté à Dieu?
Donc, nous devons toujours
garder ferme espoir dans nos cœurs?
L'espoir est la
compréhension de la promesse que Dieu viendra. Dieu a promis, et si vous faites
ce qu'Il dit, si vous aimez les autres, vous aurez la vie éternelle. Et puis
vous réaliserez cet espoir dans votre vie.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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