"
"Je
ne puis pas accepter qu’un de nos prochains n’ait pas de confesseur!
Tout le
monde a une mère, une instruction, une croyance. Il y a des situations où, pour
des raisons très spéciales, on peut rester sans confesseur, mais seulement un très court
laps de temps.
Le prêtre doit lui montrer du respect.
Ce sont nos frères, plus
jeunes [les confesseurs], à qui je baise les mains avec beaucoup d'amour. Eux, les pauvres, se
sentent gênés, mais je leur ai dit de nombreuses fois qu’on ne baise pas leur
main, mais la main du prêtre en eux.
Et pour celui qui n’a pas de confesseur,
c’est une perte, parce qu'un peuple vit par ses confesseurs."
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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