Psaume 142
Seigneur, exauce ma prière,prête l’oreille à ma supplication en ta vérité, exauce-moi en ta justice.
Et n’entre pas en jugement avec ton serviteur, car nul vivant ne sera justifié devant Toi.
Car l’ennemi a poursuivi mon âme, il a humilié ma vie jusqu’à terre.
Il m’a fait habiter dans les ténèbres, comme les morts de tous les siècles.
Et mon esprit a été saisi d’acédie, en moi, mon cœur s’est troublé.
Je me suis souvenu des jours anciens, j’ai médité sur toutes tes œuvres,
sur les créations de tes mains je méditais.
J’ai étendu mes mains vers Toi,
mon âme est comme une terre sans eau devant Toi.
Hâte-toi de m’exaucer, Seigneur, mon esprit défaille.
Ne détourne pas de moi ton Visage,
que je ne sois semblable à ceux qui descendent dans la fosse.
Fais-moi entendre au matin ta miséricorde, car en Toi j’ai mis mon espérance.
Fais-moi connaître, Seigneur, la voie où je dois marcher, car vers Toi j’ai élevé mon âme.
Délivre-moi de mes ennemis, Seigneur, auprès de Toi je me suis réfugié.
Enseigne-moi à faire ta volonté, car tu es mon Dieu.
Ton Esprit bon me conduira sur une terre de droiture. À cause de ton Nom, Seigneur, tu me feras vivre.
En ta justice, tu feras sortir de l’affliction mon âme ; et, en ta miséricorde, tu anéantiras mes ennemis.
Et tu feras périr tous ceux qui oppriment mon âme, car je suis ton serviteur.
1
Le Seigneur est Dieu, et il nous est apparu.
Béni est celui qui vient au Nom du Seigneur.
solitaires, – le compagnon de tous les consacrés, / et des malades le protecteur permanent. –
Gloire... [le même ou de l’Eglise]
Et maintenant... ♦ Ton 4 ♦ pareil ♦
Jamais nous ne cesserons, ô Théotoque, / de proclamer tes hauts faits, nous les indignes. /
Car, si tu n’étais pas présente pour intercéder, / qui nous aurait délivrés des périls innombrables ? / Qui nous a sauvegardés jusqu’à présent tous libres ? – Ô Souveraine, nous ne te quitterons pas, / car tu sauves toujours tes serviteurs de tous dangers. –
Psaume 50
Aie pitié de moi, ô Dieu, selon ta grande miséricorde,
et, selon ton immense compassion, efface mon iniquité.
Lave-moi encore plus de mon iniquité, et de mon péché purifie-moi.
Car moi, je connais mon iniquité,
et mon péché est constamment devant moi.
-
Confessez le Seigneur car il est bon,
car sa miséricorde est pour l’éternité.
-
Toutes les nations m’ont entouré,
mais au Nom du Seigneur je les ai repoussées.
-
La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la tête d’angle.
C’est le Seigneur qui l’a faite, et elle est admirable à nos yeux.
Tropaires ♦ Ton 4 ♦ Ὁ ὑψωθεὶς ἐν τῷ Σταυρῷ - Toi l’élevé sur la Croix ♦
solitaires, – le compagnon de tous les consacrés, / et des malades le protecteur permanent. –
Gloire... [le même ou de l’Eglise]
Et maintenant... ♦ Ton 4 ♦ pareil ♦
Jamais nous ne cesserons, ô Théotoque, / de proclamer tes hauts faits, nous les indignes. /
Car, si tu n’étais pas présente pour intercéder, / qui nous aurait délivrés des périls innombrables ? / Qui nous a sauvegardés jusqu’à présent tous libres ? – Ô Souveraine, nous ne te quitterons pas, / car tu sauves toujours tes serviteurs de tous dangers. –
Psaume 50
Aie pitié de moi, ô Dieu, selon ta grande miséricorde,
et, selon ton immense compassion, efface mon iniquité.
Lave-moi encore plus de mon iniquité, et de mon péché purifie-moi.
Car moi, je connais mon iniquité,
et mon péché est constamment devant moi.
2
Contre Toi seul, j’ai péché, et j’ai fait le mal devant Toi.
Ainsi, tu seras juste en tes paroles,
et tu seras vainqueur quand on te jugera.
Voici, dans les iniquités j’ai été conçu, et dans les péchés ma mère m’a enfanté.
Or voici, tu as aimé la vérité,
tu m’as révélé les mystères et les secrets de ta sagesse.
Tu m’aspergeras avec l’hysope, et je serai purifié ;
tu me laveras, et je deviendrai plus blanc que la neige.
Tu me feras entendre joie et allégresse, et ils exulteront, les os humiliés.
Détourne ton visage de mes péchés, et efface toutes mes iniquités.
Crée en moi un cœur pur, ô Dieu,
et régénère un esprit droit dans mes entrailles.
Ne me rejette pas loin de ton Visage, et ne retire pas de moi ton Esprit Saint.
Rends-moi l’allégresse de ton salut, et, par l’Esprit souverain, fortifie-moi.
J’enseignerai tes voies aux pécheurs, et les impies retourneront vers Toi.
Délivre-moi du sang, ô Dieu, Dieu de mon salut, dans l’allégresse, ma langue proclamera ta justice.
Seigneur, tu ouvriras mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Si tu avais voulu un sacrifice, je te l’aurais offert, mais tu ne prends aucun plaisir aux holocaustes.
Le sacrifice qui convient à Dieu, c’est un esprit brisé ; un cœur brisé et humilié, Dieu ne le méprisera pas.
Dans ta bienveillance, Seigneur, accorde tes bienfaits à Sion, et que soient relevés les murs de Jérusalem.
Alors tu prendras plaisir au sacrifice de justice, à l’oblation et aux holocaustes.
Alors on offrira des veaux sur ton autel.
Ainsi, tu seras juste en tes paroles,
et tu seras vainqueur quand on te jugera.
Voici, dans les iniquités j’ai été conçu, et dans les péchés ma mère m’a enfanté.
Or voici, tu as aimé la vérité,
tu m’as révélé les mystères et les secrets de ta sagesse.
Tu m’aspergeras avec l’hysope, et je serai purifié ;
tu me laveras, et je deviendrai plus blanc que la neige.
Tu me feras entendre joie et allégresse, et ils exulteront, les os humiliés.
Détourne ton visage de mes péchés, et efface toutes mes iniquités.
Crée en moi un cœur pur, ô Dieu,
et régénère un esprit droit dans mes entrailles.
Ne me rejette pas loin de ton Visage, et ne retire pas de moi ton Esprit Saint.
Rends-moi l’allégresse de ton salut, et, par l’Esprit souverain, fortifie-moi.
J’enseignerai tes voies aux pécheurs, et les impies retourneront vers Toi.
Délivre-moi du sang, ô Dieu, Dieu de mon salut, dans l’allégresse, ma langue proclamera ta justice.
Seigneur, tu ouvriras mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Si tu avais voulu un sacrifice, je te l’aurais offert, mais tu ne prends aucun plaisir aux holocaustes.
Le sacrifice qui convient à Dieu, c’est un esprit brisé ; un cœur brisé et humilié, Dieu ne le méprisera pas.
Dans ta bienveillance, Seigneur, accorde tes bienfaits à Sion, et que soient relevés les murs de Jérusalem.
Alors tu prendras plaisir au sacrifice de justice, à l’oblation et aux holocaustes.
Alors on offrira des veaux sur ton autel.
3
Canon - Ode 1 ♦ Ton pl.4 ♦ Ὑγρὰν διοδεύσας - Traversant la mer -Γα ♦
Traversant la mer tel un chemin sec, – de la servitude \
de l’Egypte s’affranchissant, – Israël disait d’une voix forte : / Pour notre Dieu Rédempteur, tous en chœur, chantons. –
Supportant dans ton corps la maladie, – tu étais, athlète, \
sain en ton cœur et ton esprit, – car tu fus purifié de la lèpre / du péché, grâce tes solitaires combats. –
Glorieux, toutes sortes de guérisons, – accorde aux fidèles \
qui accourent avec piété – auprès de tes divines reliques, / et qui souffrent d’inguérissables maladies. –
Ton âme a été de grande beauté, – car de la parure \
des vertus tu la fis briller ; – aussi, maintenant pour notre monde / veuille prier l’Epoux de suprême beauté. –
Théotokion
Souffrant en mon âme ainsi qu’en mon corps, – de ta providence \
et de ta visite divine, – ô Mère de Dieu, juge-moi digne, / Toi qui es Bonne et qui as enfanté le Bon. –
Ode 3 ♦ Ton pl.4 ♦ Οὐρανίας ἁψῖδος - Constructeur de la voûte céleste -Γα ♦
Constructeur de la voûte \ céleste, ô notre Seigneur, −
et édificateur de l’Eglise, / affermis-moi aussi − dans ton divin amour, / Toi, notre désir suprême, − des fidèles le soutien, unique Philanthrope. −
Traversant la mer tel un chemin sec, – de la servitude \
de l’Egypte s’affranchissant, – Israël disait d’une voix forte : / Pour notre Dieu Rédempteur, tous en chœur, chantons. –
Supportant dans ton corps la maladie, – tu étais, athlète, \
sain en ton cœur et ton esprit, – car tu fus purifié de la lèpre / du péché, grâce tes solitaires combats. –
Glorieux, toutes sortes de guérisons, – accorde aux fidèles \
qui accourent avec piété – auprès de tes divines reliques, / et qui souffrent d’inguérissables maladies. –
Ton âme a été de grande beauté, – car de la parure \
des vertus tu la fis briller ; – aussi, maintenant pour notre monde / veuille prier l’Epoux de suprême beauté. –
Théotokion
Souffrant en mon âme ainsi qu’en mon corps, – de ta providence \
et de ta visite divine, – ô Mère de Dieu, juge-moi digne, / Toi qui es Bonne et qui as enfanté le Bon. –
Ode 3 ♦ Ton pl.4 ♦ Οὐρανίας ἁψῖδος - Constructeur de la voûte céleste -Γα ♦
Constructeur de la voûte \ céleste, ô notre Seigneur, −
et édificateur de l’Eglise, / affermis-moi aussi − dans ton divin amour, / Toi, notre désir suprême, − des fidèles le soutien, unique Philanthrope. −
4
Tu t’es montré, saint Père, \
victorieux contre Béliar –
dans cette guerre implacable, / lorsque tu as brisé, – par ton humilité, / des démons les nombreux pièges, – et tu reçus la couronne qui jamais ne flétrit. –
Perdant tes yeux physiques, \ tu ouvris les yeux spirituels –
pour contempler l’incréée lumière, / saint trois fois bienheureux ; – et nous te demandons, / d’éclairer ceux qui te chantent – par la lumière incréée qui t’a illuminé. –
De la faveur divine \ du Christ tu fus gratifié, –
bien que de nombreuses souffrances / dans ton corps tu subis ; – car la force de Dieu / agit dans ta faiblesse, – Nicéphore vénéré, pleinement bienheureux. –
Théotokion
Des maladies pénibles \ et des nuisibles passions –
m’éprouvent constamment, ô Vierge, / viens donc à mon secours ; – car je sais que tu es / le trésor inépuisable – et incessant de remèdes, ô Toute Immaculée. –
Préserve de la lèpre du péché, bienheureux Nicéphore, saint voué à Dieu, et des pénibles douleurs du corps, les fidèles qui t’adressent leur hymne.
Regarde avec faveur, Théotoque comblée de louanges, les pénibles souffrances de mon corps
et guéris la douleur de mon âme.
dans cette guerre implacable, / lorsque tu as brisé, – par ton humilité, / des démons les nombreux pièges, – et tu reçus la couronne qui jamais ne flétrit. –
Perdant tes yeux physiques, \ tu ouvris les yeux spirituels –
pour contempler l’incréée lumière, / saint trois fois bienheureux ; – et nous te demandons, / d’éclairer ceux qui te chantent – par la lumière incréée qui t’a illuminé. –
De la faveur divine \ du Christ tu fus gratifié, –
bien que de nombreuses souffrances / dans ton corps tu subis ; – car la force de Dieu / agit dans ta faiblesse, – Nicéphore vénéré, pleinement bienheureux. –
Théotokion
Des maladies pénibles \ et des nuisibles passions –
m’éprouvent constamment, ô Vierge, / viens donc à mon secours ; – car je sais que tu es / le trésor inépuisable – et incessant de remèdes, ô Toute Immaculée. –
Préserve de la lèpre du péché, bienheureux Nicéphore, saint voué à Dieu, et des pénibles douleurs du corps, les fidèles qui t’adressent leur hymne.
Regarde avec faveur, Théotoque comblée de louanges, les pénibles souffrances de mon corps
et guéris la douleur de mon âme.
5
Cathisme ♦ Ton 2 ♦ Τὰ ἄνω ζητῶν - Cherchant les biens d’en haut ♦
Par ton intercession, éteins la fièvre des passions, / miraculeusement, guéris les funestes maladies, – Nicéphore père saint, / le peuple fidèle te crie, / car il attend de toi un prompt secours / et une véritable protection. –
Ode 4 ♦ Ton pl.4 ♦ Εἰσακήκοα Κύριε - J’ai perçu, ô notre Seigneur ♦
J’ai perçu, ô notre Seigneur, – le profond mystère de ton Economie ; –
toutes tes œuvres j’ai médité, / et j’ai rendu gloire à ta Divinité. –
Père saint, envoie maintenant – d’en haut une force à nous qui te supplions, –
afin que nous soyons victorieux / face à la ténacité de l’ennemi. –
À nous tous qui te vénérons, – Père, donne-nous la force de lapider, –
par la pierre de la sainte foi, / cet adversaire effronté qui nous combat. –
Père saint, chasse loin de moi – toute maladie corruptrice du corps, –
relève-moi du lit de douleur, / où je suis étendu, moi le malheureux. –
Théotokion
Nous qui, comme espoir et soutien, – comme inébranlable muraille du salut, –
t’avons acquise, ô Pleinement Louée, / sommes délivrés de toute adversité. –
Ode 5 ♦ Ton pl.4 ♦ Φώτισον ἡμᾶς - Illumine-nous ♦
Illumine-nous / par tes commandements, ô Seigneur, /
et par ton bras hautement élevé, \ ô Philanthrope, / donne-nous ta véritable paix. –
Par ton intercession, éteins la fièvre des passions, / miraculeusement, guéris les funestes maladies, – Nicéphore père saint, / le peuple fidèle te crie, / car il attend de toi un prompt secours / et une véritable protection. –
Ode 4 ♦ Ton pl.4 ♦ Εἰσακήκοα Κύριε - J’ai perçu, ô notre Seigneur ♦
J’ai perçu, ô notre Seigneur, – le profond mystère de ton Economie ; –
toutes tes œuvres j’ai médité, / et j’ai rendu gloire à ta Divinité. –
Père saint, envoie maintenant – d’en haut une force à nous qui te supplions, –
afin que nous soyons victorieux / face à la ténacité de l’ennemi. –
À nous tous qui te vénérons, – Père, donne-nous la force de lapider, –
par la pierre de la sainte foi, / cet adversaire effronté qui nous combat. –
Père saint, chasse loin de moi – toute maladie corruptrice du corps, –
relève-moi du lit de douleur, / où je suis étendu, moi le malheureux. –
Théotokion
Nous qui, comme espoir et soutien, – comme inébranlable muraille du salut, –
t’avons acquise, ô Pleinement Louée, / sommes délivrés de toute adversité. –
Ode 5 ♦ Ton pl.4 ♦ Φώτισον ἡμᾶς - Illumine-nous ♦
Illumine-nous / par tes commandements, ô Seigneur, /
et par ton bras hautement élevé, \ ô Philanthrope, / donne-nous ta véritable paix. –
6
Puissions-nous nécroser /
nos membres terrestres pleinement, /
comme insiste Paul l’apôtre des nations, \ ô Nicéphore, / grâce à ta fervente intercession. –
Tes reliques sacrées / sont des remèdes en vérité /
pour la guérison des âmes et des corps ; \ ô saint, par elles, / guéris ceux qui ardemment te prient. –
Me tenant dehors, / aux portes de la compassion du Christ, /
frappant patiemment, je te prie, ouvre-les \ pour moi, saint Père, / avec la clé de ton intercession. –
Théotokion
Très Pure, guéris / la maladie causée par mes passions /
en me jugeant digne de ta visite ; \ par ta prière, / rétablis pleinement ma santé. –
Ode 6 ♦ Ton pl.4 ♦ Τὴν δέησιν ἐκχεῶ - J’adresserai ma prière ♦
J’adresserai ma prière à mon Seigneur / et je lui exposerai mes souffrances, \ car de malheurs s’est emplie mon âme, / aussi ma vie s’est approchée de l’Enfer. – Je le supplie comme Jonas : / Mon Dieu, enlève-moi de la corruption. –
Ô Père saint, je souffre incurablement, / de maladie et affection si nuisible, \ portant hélas les stigmates des fautes, / partout dans ma chair ; c’est pourquoi je te supplie, – donne-moi le remède de vie / jaillissant de tes reliques sacrées. –
comme insiste Paul l’apôtre des nations, \ ô Nicéphore, / grâce à ta fervente intercession. –
Tes reliques sacrées / sont des remèdes en vérité /
pour la guérison des âmes et des corps ; \ ô saint, par elles, / guéris ceux qui ardemment te prient. –
Me tenant dehors, / aux portes de la compassion du Christ, /
frappant patiemment, je te prie, ouvre-les \ pour moi, saint Père, / avec la clé de ton intercession. –
Théotokion
Très Pure, guéris / la maladie causée par mes passions /
en me jugeant digne de ta visite ; \ par ta prière, / rétablis pleinement ma santé. –
Ode 6 ♦ Ton pl.4 ♦ Τὴν δέησιν ἐκχεῶ - J’adresserai ma prière ♦
J’adresserai ma prière à mon Seigneur / et je lui exposerai mes souffrances, \ car de malheurs s’est emplie mon âme, / aussi ma vie s’est approchée de l’Enfer. – Je le supplie comme Jonas : / Mon Dieu, enlève-moi de la corruption. –
Ô Père saint, je souffre incurablement, / de maladie et affection si nuisible, \ portant hélas les stigmates des fautes, / partout dans ma chair ; c’est pourquoi je te supplie, – donne-moi le remède de vie / jaillissant de tes reliques sacrées. –
7
Nouvelle fleur au très suave parfum, /
au jardin du Paradis, ô saint Père, \
tu fus planté ; aussi, daigne répandre /
la bonne odeur délicate du Saint Esprit, –
sur ceux qui gisent, ô bienheureux, /
dans le nauséabond gouffre des passions –
Très vigilant tu étais incessamment, / supportant la maladie douloureuse ; \ toi-même, ayant souffert, tu peux, saint Père, / aider aussi ceux qui souffrent, par compassion ; – nous t’en prions, exauce-nous / qui sollicitons ta sûre protection. –
Théotokion
Sur un grabat de douleur je suis couché, / et pour ma chair il n’y a pas de remède. \ Toi qui conçus le Dieu Sauveur du monde, / le Rédempteur de toutes les maladies, – je te supplie, en ta bonté, / des maladies corruptrices délivre-moi. –
Préserve de la lèpre du péché, bienheureux Nicéphore, saint voué à Dieu, et des pénibles douleurs du corps, les fidèles qui t’adressent leur hymne.
Immaculée, toi qui, d’une parole, as enfanté le Verbe ineffablement aux temps ultimes, implore-le,
car tu as l’assurance maternelle.
Kontakion ♦ Ton 4 ♦ Ἐπεφάνης σήμερον - Aujourd’hui, tu apparais ♦
Comme l’un dix lépreux, saint Nicéphore, / lui qui fut reconnaissant, – plein d’assurance tu te tiens / près de Celui qui t’a honoré ; / c’est pourquoi nous tous te glorifions dignement. –
Prokimenon
Le Juste fleurira comme un palmier,
et il se multipliera comme le cèdre du Liban.
v. Planté dans la maison du Seigneur,
il fleurira dans les parvis de notre Dieu.
Très vigilant tu étais incessamment, / supportant la maladie douloureuse ; \ toi-même, ayant souffert, tu peux, saint Père, / aider aussi ceux qui souffrent, par compassion ; – nous t’en prions, exauce-nous / qui sollicitons ta sûre protection. –
Théotokion
Sur un grabat de douleur je suis couché, / et pour ma chair il n’y a pas de remède. \ Toi qui conçus le Dieu Sauveur du monde, / le Rédempteur de toutes les maladies, – je te supplie, en ta bonté, / des maladies corruptrices délivre-moi. –
Préserve de la lèpre du péché, bienheureux Nicéphore, saint voué à Dieu, et des pénibles douleurs du corps, les fidèles qui t’adressent leur hymne.
Immaculée, toi qui, d’une parole, as enfanté le Verbe ineffablement aux temps ultimes, implore-le,
car tu as l’assurance maternelle.
Kontakion ♦ Ton 4 ♦ Ἐπεφάνης σήμερον - Aujourd’hui, tu apparais ♦
Comme l’un dix lépreux, saint Nicéphore, / lui qui fut reconnaissant, – plein d’assurance tu te tiens / près de Celui qui t’a honoré ; / c’est pourquoi nous tous te glorifions dignement. –
Prokimenon
Le Juste fleurira comme un palmier,
et il se multipliera comme le cèdre du Liban.
v. Planté dans la maison du Seigneur,
il fleurira dans les parvis de notre Dieu.
8
Lecture du saint Évangile selon saint Matthieu (10, 32-36 ; 11, 1)
En ce temps-là, comme Jésus entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix, et
dirent : Jésus, maître, aie pitié de nous.
Les voyant, il leur dit : Allez vous montrer aux prêtres. Et, pendant qu’ils y allaient, ils se trouvèrent purifiés. L’un d’eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix ; il se prosterna aux pieds de Jésus, le visage contre terre, et le remercia. Et c’était un Samaritain. Jésus, prenant la parole, dit : Les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Et les neuf autres, où sont-ils ? Ne s’est-il trouvé que cet étranger pour revenir et rendre gloire à Dieu ?
Puis il lui dit : Lève-toi, va ; ta foi t’a sauvé.
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Exauçant les prières de ton saint Ascète, Compatissant, efface la multitude de mes fautes.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Exauçant les prières de la Théotoque, Compatissant, efface la multitude de mes fautes. ♦ Ton pl.2 ♦ Ὅλην ἀποθέμενοι - Dans le Ciel ayant placé ♦
Aie pitié de moi, ô Dieu, selon ta grande miséricorde, et, selon ton immense compassion, efface mon iniquité.
Louangeons tous celui qui
porte le nom de victoire,
lui, la fierté des lépreux,
le plus beau modèle pour eux à imiter, règle des moines aussi,
homme de prière,
cet amoureux de l’humilité,
de la sobriété,
et de la patience et de la vraie foi ! Tout comme un astre il resplendit magnifiquement de splendide éclat au firmament céleste.
Aussi, ce Nicéphore le lépreux, supplions-le nous tous, lui disant : Prie pour le monde, ô Saint.
En ce temps-là, comme Jésus entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix, et
dirent : Jésus, maître, aie pitié de nous.
Les voyant, il leur dit : Allez vous montrer aux prêtres. Et, pendant qu’ils y allaient, ils se trouvèrent purifiés. L’un d’eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix ; il se prosterna aux pieds de Jésus, le visage contre terre, et le remercia. Et c’était un Samaritain. Jésus, prenant la parole, dit : Les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Et les neuf autres, où sont-ils ? Ne s’est-il trouvé que cet étranger pour revenir et rendre gloire à Dieu ?
Puis il lui dit : Lève-toi, va ; ta foi t’a sauvé.
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Exauçant les prières de ton saint Ascète, Compatissant, efface la multitude de mes fautes.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Exauçant les prières de la Théotoque, Compatissant, efface la multitude de mes fautes. ♦ Ton pl.2 ♦ Ὅλην ἀποθέμενοι - Dans le Ciel ayant placé ♦
Aie pitié de moi, ô Dieu, selon ta grande miséricorde, et, selon ton immense compassion, efface mon iniquité.
Louangeons tous celui qui
porte le nom de victoire,
lui, la fierté des lépreux,
le plus beau modèle pour eux à imiter, règle des moines aussi,
homme de prière,
cet amoureux de l’humilité,
de la sobriété,
et de la patience et de la vraie foi ! Tout comme un astre il resplendit magnifiquement de splendide éclat au firmament céleste.
Aussi, ce Nicéphore le lépreux, supplions-le nous tous, lui disant : Prie pour le monde, ô Saint.
9
Ode 7 ♦ Ton pl.4 ♦ Οἱ ἐκ τῆς Ἰουδαίας –De la Judée, les Jeunes, ♦
De la Judée, les Jeunes, – jadis à Babylone ayant été déportés, – par la foi Trinitaire, – la flamme en la fournaise, / la foulèrent en psalmodiant : – Tu es béni, notre Dieu, Toi le Dieu de nos Pères. –
Tu t’es sanctifié, père, – ayant vécu en vrai ascète dans le secret, – modèle pour les moines ; – tu cachas la richesse / de tes vertus pieusement. – Mais manifeste aux croyants / très clairement ta grâce. –
Les plaisirs de la vie, – tu les quittas, ô sage, goûtant à l’amertume ; – en préférant la peine – de la terrible lèpre, / tu savoures le Paradis. – Que nous puissions y loger, / aide-nous, Nicéphore. –
Sirikari, saint père, – est glorifié en Dieu, par toi son enfant brillant ; – aussi, tu t’en occupes – chaque jour et procures / la santé de ses habitants, – toi qui des Saints est vraiment / concitoyen très noble. –
Théotokion
Guéris, en ta clémence, – les maladies des âmes, les faiblesses des corps, – de tous ceux qui s’approchent – de ton divin refuge, / Théotoque, avec amour ; – Toi qui, le Christ, le Sauveur, / pour nous, l’as mis au monde. –
De la Judée, les Jeunes, – jadis à Babylone ayant été déportés, – par la foi Trinitaire, – la flamme en la fournaise, / la foulèrent en psalmodiant : – Tu es béni, notre Dieu, Toi le Dieu de nos Pères. –
Tu t’es sanctifié, père, – ayant vécu en vrai ascète dans le secret, – modèle pour les moines ; – tu cachas la richesse / de tes vertus pieusement. – Mais manifeste aux croyants / très clairement ta grâce. –
Les plaisirs de la vie, – tu les quittas, ô sage, goûtant à l’amertume ; – en préférant la peine – de la terrible lèpre, / tu savoures le Paradis. – Que nous puissions y loger, / aide-nous, Nicéphore. –
Sirikari, saint père, – est glorifié en Dieu, par toi son enfant brillant ; – aussi, tu t’en occupes – chaque jour et procures / la santé de ses habitants, – toi qui des Saints est vraiment / concitoyen très noble. –
Théotokion
Guéris, en ta clémence, – les maladies des âmes, les faiblesses des corps, – de tous ceux qui s’approchent – de ton divin refuge, / Théotoque, avec amour ; – Toi qui, le Christ, le Sauveur, / pour nous, l’as mis au monde. –
10
Ode 8 ♦ Ton pl.4 ♦ Τὸν Βασιλέα τῶν οὐρανῶν –Au son des hymnes, ♦
Au son des hymnes, / chantez tous le Roi céleste /
que chantent les Armées angéliques ; \ et sur-exaltez-le / au cours de tous les siècles. –
Un ver dans ta chair / te fut donné, Nicéphore, /
la pénible maladie de la lèpre, \ qu’avec grand courage / tu supportas, saint père. –
Sans relâche, / avec les saints très illustres /
de Chios, Zotique et Anthime, \ père Nicéphore, / prie en faveur du monde. –
Tu lavas les taches, / par tes larmes si fécondes, /
rendant pure ton âme, saint père ; \ aide-moi, que je porte / les fruits de repentance. –
Théotokion
Tu repousses / des tentations les attaques /
et des passions les charges, ô Vierge ; \ et nous te chantons tous / au cours de tous les siècles. –
Ode 9 ♦ Ton pl.4 ♦ Κυρίως Θεοτόκον - Surtout vraie Théotoque ♦
Surtout vraie Théotoque – te confessons, Vierge, /
nous qui, par Toi, ô Très Pure, sommes sauvés ; – avec les chœurs angéliques, / tous nous te magnifions. –
Au son des hymnes, / chantez tous le Roi céleste /
que chantent les Armées angéliques ; \ et sur-exaltez-le / au cours de tous les siècles. –
Un ver dans ta chair / te fut donné, Nicéphore, /
la pénible maladie de la lèpre, \ qu’avec grand courage / tu supportas, saint père. –
Sans relâche, / avec les saints très illustres /
de Chios, Zotique et Anthime, \ père Nicéphore, / prie en faveur du monde. –
Tu lavas les taches, / par tes larmes si fécondes, /
rendant pure ton âme, saint père ; \ aide-moi, que je porte / les fruits de repentance. –
Théotokion
Tu repousses / des tentations les attaques /
et des passions les charges, ô Vierge ; \ et nous te chantons tous / au cours de tous les siècles. –
Ode 9 ♦ Ton pl.4 ♦ Κυρίως Θεοτόκον - Surtout vraie Théotoque ♦
Surtout vraie Théotoque – te confessons, Vierge, /
nous qui, par Toi, ô Très Pure, sommes sauvés ; – avec les chœurs angéliques, / tous nous te magnifions. –
11
Écoute ma complainte –
observe mes larmes, /
et, pour moi, ne cesse pas de prier le Christ, – car dans mes péchés funestes, / père, je suis perdu. –
Du monstre qui menace – mon âme, ô vénérable, /
sauve-moi, par le filet du Christ saisis-moi, – dans le vaisseau salutaire / fais-moi donc embarquer. –
Auprès du Christ sans cesse, – Nicéphore, intercède /
pour nous qui avec des louanges honorons – ta sainte vie ascétique, / amplement enviée. –
Guéris la maladie – des foules, et la lèpre /
de mes passions pécheresses, par tes prières, – et rends-moi digne, saint père, / d’entrer au Paradis. –
Théotokion
Plongé dans la souffrance, – humilié, ô Vierge, /
de toutes les maladies viens me guérir – et transformer ma faiblesse / aussitôt en vigueur. –
Mégalynaires
Il est digne en toute vérité / de te bénir, Toi, la Théotoque / toujours bienheureuse et toute immaculée, / et la Mère de notre Dieu. –
Toi, plus vénérable que les Chérubins – et sans comparaison plus glorieuse que les Séraphins, –
qui sans corruption as enfanté Dieu le Verbe, / Toi, vraiment Théotoque, tous nous Te magnifions. –
et, pour moi, ne cesse pas de prier le Christ, – car dans mes péchés funestes, / père, je suis perdu. –
Du monstre qui menace – mon âme, ô vénérable, /
sauve-moi, par le filet du Christ saisis-moi, – dans le vaisseau salutaire / fais-moi donc embarquer. –
Auprès du Christ sans cesse, – Nicéphore, intercède /
pour nous qui avec des louanges honorons – ta sainte vie ascétique, / amplement enviée. –
Guéris la maladie – des foules, et la lèpre /
de mes passions pécheresses, par tes prières, – et rends-moi digne, saint père, / d’entrer au Paradis. –
Théotokion
Plongé dans la souffrance, – humilié, ô Vierge, /
de toutes les maladies viens me guérir – et transformer ma faiblesse / aussitôt en vigueur. –
Mégalynaires
Il est digne en toute vérité / de te bénir, Toi, la Théotoque / toujours bienheureuse et toute immaculée, / et la Mère de notre Dieu. –
Toi, plus vénérable que les Chérubins – et sans comparaison plus glorieuse que les Séraphins, –
qui sans corruption as enfanté Dieu le Verbe, / Toi, vraiment Théotoque, tous nous Te magnifions. –
12
Par des hymnes magnifions amplement –/
le saint Nicéphore, qui souffrit avec les lépreux, –
lui qui d’un cœur humble, armé de repentance, / a brisé tous les pièges des funestes démons. –
Ayant enduré la lèpre en ton corps, –/ tu fus, en ton âme, délivré ; dans le repentir, –
pleurant sur tes fautes au cours de tes prières, – tu as trouvé, saint père, une céleste joie. –
Ô saint Nicéphore, ascète sacré, –/ des paralysés spirituellement souviens-toi ; –
de la misérable couche de la paresse, / et du péché funeste veuille les relever. –
Les armées entières des Anges saints, –/ vous les douze Apôtres, toi le Prodrome du Seigneur, –
tous les Saints ensemble avec la Théotoque, / élevez vos prières que nous soyons sauvés. –
!
Saint Dieu, SaintFort, SaintImmortel, aiepitiédenous. (3x) Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Toute Sainte Trinité, aie pitié de nous. Seigneur, purifie-nous de nos péchés.
Maître, pardonne-nous nos iniquités.
Saint, visite-nous et guéris nos infirmités, à cause de ton Nom.
Kyrie, eleïsson. (3x)
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Notre Père qui es aux Cieux,
que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain substantiel. Remets-nous nos dettes
comme nous aussi les remettons à nos débiteurs. Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du malin.
lui qui d’un cœur humble, armé de repentance, / a brisé tous les pièges des funestes démons. –
Ayant enduré la lèpre en ton corps, –/ tu fus, en ton âme, délivré ; dans le repentir, –
pleurant sur tes fautes au cours de tes prières, – tu as trouvé, saint père, une céleste joie. –
Ô saint Nicéphore, ascète sacré, –/ des paralysés spirituellement souviens-toi ; –
de la misérable couche de la paresse, / et du péché funeste veuille les relever. –
Les armées entières des Anges saints, –/ vous les douze Apôtres, toi le Prodrome du Seigneur, –
tous les Saints ensemble avec la Théotoque, / élevez vos prières que nous soyons sauvés. –
!
Saint Dieu, SaintFort, SaintImmortel, aiepitiédenous. (3x) Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Toute Sainte Trinité, aie pitié de nous. Seigneur, purifie-nous de nos péchés.
Maître, pardonne-nous nos iniquités.
Saint, visite-nous et guéris nos infirmités, à cause de ton Nom.
Kyrie, eleïsson. (3x)
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
Et maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Notre Père qui es aux Cieux,
que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain substantiel. Remets-nous nos dettes
comme nous aussi les remettons à nos débiteurs. Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du malin.
13
Apolytikion ♦ Ton 1 ♦ Τῆς ἐρήμου πολίτης – Citoyen du désert ♦
Voyant la persévérance dans l’ascèse et les combats / du saint lépreux Nicéphore, les Anges furent très étonnés, / car tel un autre Job il supporta / les grandes douleurs en glorifiant Dieu. – Maintenant, par Lui, de gloire il est couronné, / don des miracles lui faisant. – Réjouis-toi, des moines conducteur ; / réjouis-toi, flambeau brillant ; / réjouis-toi qui répands la bonne odeur / de tes reliques et la joie. –
Ecténie
Tropaires ♦ Ton 2 ♦ Ὅτε ἐκ τοῦ ξύλου - Lorsque de la Croix te descendit ♦
Venez, Nicéphore le lépreux, – louangeons-le, tous les fidèles, / en tressaillant de joie ; / car celui-ci, délaissant les volontés de la chair, – dans le monde il est apparu \ comme ange terrestre, / priant inlassablement, dans l’incessante oraison, – du bien-aimé Sauveur du monde ; / aussi, luttant avec patience, / il reçut la couronne qui ne flétrit. –
Souveraine, reçois les prières de tes serviteurs, et délivre-nous de toute contrainte et affliction.
Toute mon espérance,
en toi je la confie, Mère de Dieu, garde-moi sous ta protection.
!
Par les prières de nos saints Pères,
Seigneur Jésus Christ notre Dieu, aie pitié de nous. Amen.
Voyant la persévérance dans l’ascèse et les combats / du saint lépreux Nicéphore, les Anges furent très étonnés, / car tel un autre Job il supporta / les grandes douleurs en glorifiant Dieu. – Maintenant, par Lui, de gloire il est couronné, / don des miracles lui faisant. – Réjouis-toi, des moines conducteur ; / réjouis-toi, flambeau brillant ; / réjouis-toi qui répands la bonne odeur / de tes reliques et la joie. –
Ecténie
Tropaires ♦ Ton 2 ♦ Ὅτε ἐκ τοῦ ξύλου - Lorsque de la Croix te descendit ♦
Venez, Nicéphore le lépreux, – louangeons-le, tous les fidèles, / en tressaillant de joie ; / car celui-ci, délaissant les volontés de la chair, – dans le monde il est apparu \ comme ange terrestre, / priant inlassablement, dans l’incessante oraison, – du bien-aimé Sauveur du monde ; / aussi, luttant avec patience, / il reçut la couronne qui ne flétrit. –
Souveraine, reçois les prières de tes serviteurs, et délivre-nous de toute contrainte et affliction.
Toute mon espérance,
en toi je la confie, Mère de Dieu, garde-moi sous ta protection.
!
Par les prières de nos saints Pères,
Seigneur Jésus Christ notre Dieu, aie pitié de nous. Amen.
Merci à Père Pandélis d'avoir mis ce texte à notre disposition.
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