À propos de Satan
Pour le Diable, nous ne devons pas donner d'explications!
Nous ne pouvons pas parler du Diable, sans parler de Dieu. Dans la création, de Dieu le Diable est toléré.
Croyez-vous que le Diable soit libre? Non! Il est le plus lié, car il n'est pas en Christ... Alors n'ayez pas peur de lui. Il est toléré, ce n'est pas une puissance.
C'est une grande erreur que d'entrer en conversation avec le Diable. Nous ne devons parler qu'avec Dieu.
Si vous voulez le chasser, dites: "Seigneur Jésus-Christ, aie pitié de moi", et parlez à Dieu. La puissance de Son Nom vous débarrassera de lui. Cela sied au Diable que d'entrer en dialogue, car cela signifie que vous le reconnaissez. Ainsi, par la prière, nous l'ignorerons.
Si nous examinons tout d'abord la question de l'enfer, alors nous ignorons le Ciel!
Marcher sur un chemin qui est faux- le péché signifie l'enfer.
L'orgueil est un état diabolique, un état absolument diabolique.
Aucune autre passion ne rapproche l'homme de la ressemblance au Diable que ne le fait l'orgueil.
Si vous n'écoutez pas ceux que Dieu a désignés pour vous, il est facile de comprendre que vous préfériez obéir à Satan.
Lucifer a chuté désespérément. La plus grande chute, et avec seulement deux mots: "je suis..."
Indirectement, le Diable confesse Dieu à travers les tentations.
Il n'y a aucune relation entre le bien et le mal. Notre Sauveur dit: "Donnez-moi tout votre cœur!" Mais le Diable dit: "Je n'ai besoin que d'un de vos doigts." Mais par lui, bientôt il va prendre tout votre être. Vous tout entier.
Le péché amène l'humilité. Donc, il est entendu que le Diable joue un "rôle" indirect dans notre salut, car il révèle nos infirmités, et en cela, il nous aide à grandir. S'il se rendrait compte quelle aide il est pour notre salut, il nous troublerait moins...
Quelle que soit la raison de votre affliction, elle vient seulement des démons. La Grâce de Dieu ne vient pas là où il y a le chagrin ou la tristesse, parce que vous ne sauriez pas quoi faire avec elle, et vous la gaspilleriez.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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