"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

lundi 1 janvier 2024

Un bienfait revient toujours vers son auteur




Un jeune homme sans emploi s'est réveillé un matin et est allé vérifier les poches de son pantalon. Tout ce qu'il a trouvé, c'était quelques dollars. Il a décidé de les utiliser pour acheter de la nourriture et ensuite... ce que Dieu voudrait. Il était trop fier pour aller mendier, il pensait que seules les personnes faibles le font. Il préférait mourir au lieu de ça.

Il était triste et déçu parce qu'il ne pouvait pas trouver d'emploi et que personne ne voulait l'aider. Il alla au magasin, acheta de la nourriture et s'assit sur un banc dans le parc. Alors qu'il essayait d'ouvrir le sac de nourriture, il vit comment un vieil homme à la barbe blanche venait vers lui. Derrière lui, il y avait deux petits enfants.

Quand le vieil homme arriva devant lui, il lui demanda une tranche de pain. Les larmes aux yeux, il dit que ni lui ni les enfants n'avaient mangé quoi que ce soit depuis près d'une semaine.

Le jeune homme le regarda avec pitié. Ils étaient si maigres que l'on pouvait voir leurs os. Profondément touché par leur apparence, il eut pitié d'eux et leur donna toute sa nourriture.

À ce moment-là, le vieil homme fit le signe de la croix, dit quelques mots qui sonnaient comme une prière, puis lui donna une très vieille pièce de monnaie.

L'homme les regarda et a dit : « Je pense que vous avez besoin de plus de prières que moi. »

Sans argent dans sa poche, sans emploi et sans nourriture, le jeune homme passa sous un pont pour se reposer. Alors qu'il était sur le point de s'endormir, un vieux journal tomba près de lui. Il le prit et vit une publicité : un homme achetait de vieilles pièces de monnaie. Il déchira cette partie d'annonce du journal et alla chercher cette adresse. En atteignant la destination, il montra la pièce au collectionneur. Cet homme fut sans voix. Il alla derrière le comptoir, sortit un gros livre et lui montra une photo. Sur cette photo, c'était la même pièce qu'il avait reçue - elle valait trois millions de dollars.

Le jeune homme vendit la pièce et partit à la recherche du vieil homme et de ses enfants. Mais dans le parc, il n'y en avait aucune trace. Cependant, sur le banc, il y avait une note :

"Vous nous avez donné tout ce que vous aviez... et nous voulons vous récompenser avec cette pièce. Ne perdez jamais votre foi.

DIEU et ses anges. »

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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