Toute la vie se passe dans la vanité.
Le mental se meut au milieu de vaines pensées et tentations. Peu à peu, il s'habitue à se souvenir de Dieu, de sorte qu'au sein des vanités et des ennuis, lorsqu'il n'y pense pas, il pense soudain [à Lui], et lorsqu'il ne s'en souvient pas, il pense soudainement à Lui, aussi longtemps qu'il est en mouvement sans s'arrêter.
Tant qu'il s'efforce d'avancer - n'aie pas peur, ton petit bateau est entier, et à l'ombre de la Croix, il finira de naviguer sur la mer de la vie. C'est tout, et tu n'as pas à craindre les tempêtes qui peuvent survenir.
En navigation normale, on ne peut pas éviter les intempéries, et encore moins sur le chemin de la vie. Mais les malheurs et les tempêtes de la vie ne sont pas effrayants pour ceux qui voyagent sous la protection de la prière salvatrice : Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur.
Ils ne sont pas effrayants, seulement ne tombe pas dans le découragement, car le découragement donne naissance au désespoir, et le désespoir est déjà un péché mortel.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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