La Révélation de pensées et la Confession d'un laïc
Vladyka, aujourd'hui, on peut entendre différents points de vue sur la confession: doit-elle être fréquente ou rare, régulière ou seulement lorsque l'on a chu par de graves péchés... A votre avis, quelle approche, est la plus juste?
Je pense que nous sommes arrivés à une période de la vie de notre Église où ces questions sont actuellement testées par la vie. La pratique d'il y a un demi-siècle ou de la période synodale est peu acceptée: en règle générale, aujourd'hui, les gens reçoivent plus fréquemment la communion. Oui, et la vie elle-même a beaucoup changé. Les approches et les solutions précédentes ne peuvent plus retenir les gens, c'est la raison pour laquelle de nouvelles approches se sont développées, y compris dans de telles discussions. C'est très bien qu'il y ait des discussions, que les gens en soient conscients, qu'ils pensent et raisonnent.
Je crois que ces questions, à la fin, trouveront leurs résolutions et j'espère qu'elles ne seront pas fixées par des règles obligatoires. Ce n'est pas à présent le temps oùl il devrait exister un modèle unique: la communion et la confession tant de fois, dans tant de jours….
En outre, il n'y a pas de canons stricts dans ce sens; il existe diverses pratiques, et des coutumes différentes. Il devrait y avoir un certain degré de liberté pour cette question importante.
Chacun, avec l'aide de son confesseur, devrait décider à sa manière. Et c'est déjà l'affaire du paroissien que de trouver un confesseur qui puisse l'aider, celui dont il a besoin.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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