Maxime le Confesseur, « Questions à Thalassios (I-XL) », introduction et notes par Jean-Claude Larchet, traduction par Françoise Vinel, Éditions du Cerf, Paris, 2010, 427 p., coll. « Sources chrétiennes » n° 529.
Ce volume inaugure la parution en trois tomes, dans la collection de référence « Sources chrétiennes », des « Questions à Thalassios », l’une des œuvres les plus célèbres du grand théologien byzantin saint Maxime le Confesseur (580-662), destinée de prime abord à expliquer des passages difficiles de la Sainte Écriture, mais servant en fait de prétexte à l’auteur pour exposer sa doctrine spirituelle.
Dans une introduction de 92 pages, Jean-Claude Larchet, spécialiste internationalement reconnu de saint Maxime auquel il a consacré trois ouvrages (1996, 1998, 2003) et plusieurs introductions (1992, 1994, 1998-1, 1998-2, 1999), présente les circonstances et la date de composition de l’œuvre, ainsi que son destinataire ; il la situe ensuite dans son genre « littéraire » en dégageant les caractéristiques de l’exégèse maximienne ; puis il présente une longue synthèse de l’enseignement spirituel de saint Maxime, exprimé de manière diffuse tout au long de ces soixante-cinq questions-réponses ; il montre enfin l’influence importante que cette œuvre a exercée tant en Occident qu’en Orient (où de nombreux extraits ont notamment été intégrés à la « Philocalie »).
Ce volume inaugure la parution en trois tomes, dans la collection de référence « Sources chrétiennes », des « Questions à Thalassios », l’une des œuvres les plus célèbres du grand théologien byzantin saint Maxime le Confesseur (580-662), destinée de prime abord à expliquer des passages difficiles de la Sainte Écriture, mais servant en fait de prétexte à l’auteur pour exposer sa doctrine spirituelle.
Dans une introduction de 92 pages, Jean-Claude Larchet, spécialiste internationalement reconnu de saint Maxime auquel il a consacré trois ouvrages (1996, 1998, 2003) et plusieurs introductions (1992, 1994, 1998-1, 1998-2, 1999), présente les circonstances et la date de composition de l’œuvre, ainsi que son destinataire ; il la situe ensuite dans son genre « littéraire » en dégageant les caractéristiques de l’exégèse maximienne ; puis il présente une longue synthèse de l’enseignement spirituel de saint Maxime, exprimé de manière diffuse tout au long de ces soixante-cinq questions-réponses ; il montre enfin l’influence importante que cette œuvre a exercée tant en Occident qu’en Orient (où de nombreux extraits ont notamment été intégrés à la « Philocalie »).
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