mercredi 1 avril 2020

Saint Nicéphore apparaît en Bulgarie et donne un remède contre le coronavirus


Moine de Vatopaidi avec l'icône de saint Nicéphore 

"...... j'ai appris par internet que le journaliste Angel Bontchev préparait  un livre sur ce saint inconnu pour nous Nicéphore le Lépreux, à un moment critique où le monde était couvert par la pandémie de coronavirus et où des milliers de personnes mouraient, tuées par ce nouveau fléau.

Je l'ai appelé au téléphone et il m'a brièvement parlé de sa vie de souffrance et de la lourde croix qui lui avait été donnée. Les semaines précédentes, j'étais très anxieux et troublé par tout ce que l'on entendait dans les médias, mais à ce moment-là, je me suis senti réconforté, surtout lorsque j'ai appris que saint  Nicéphore était apparu à un homme en Grèce pour inspirer le courage et la volonté d'aider les gens contre ce mal.

Comme jusqu'à ce moment je n'avais pas beaucoup d'informations sur sa vie, son acathiste, ses prières, j'ai été réconforté par le peu que je savais déjà et je me suis dit que le saint allait aider, j'avais la foi qu'il serait avec nous, je me sentais proche de lui. J'ai pleuré toute la nuit, je l'ai prié, j'ai pensé à ce qui se passait dans le monde et aux cas de personnes infectées qui se multipliaient chaque jour en Bulgarie.

Saint  Nicéphore le Lépreux : 

La première nuit

À 4 heures cette nuit-là, je me suis endormi. Dans mon rêve,  saint Nicéphore le Lépreux m'a rendu visite. Je l'ai reconnu immédiatement. Je l'ai vu dans sa soutane noire, debout, tenant une croix dorée dans sa main droite. Il s'est adressé à moi en prononçant ces mots : "Avertis tous les chrétiens de me prier, mais de façon répétée. Qu'ils lisent aussi les offices. Il y a un remède et c'est la Sainte Communion. Il y a aussi une herbe à boire, c'est le thym, il tue les virus. Et en tout cas, n'oubliez pas de visiter la Maison de Dieu en ce moment difficile, car il n'y a pas de contagion là-bas et personne ne peut être infecté. "C'était la première nuit.

La deuxième nuit

Le lendemain soir, il est revenu et a dit cette fois que de nombreux chrétiens, et pas seulement eux, l'avaient prié parce que son apparition en Grèce s'était aussi répandue dans les réseaux sociaux. Il m'a également dit de dire à mon fils de le prier, mais pas seulement une fois, comme il lui avait dit une fois, - cela ne suffit pas. "Plusieurs fois", répétait le saint. Le lendemain, j'ai demandé à mon enfant : "Combien de fois as-tu prié saint Nicéphore ?" Et il n'a répondu seulement une fois le matin. Je lui ai expliqué que ce n'était pas suffisant.

La troisième nuit

La troisième nuit, je l'ai revu. Mais cette fois, la chose la plus importante que j'ai comprise, c'est que la Bulgarie serait protégée contre le virus. Je me suis tourné vers lui avec la question : "Est-ce que toute la Bulgarie sera préservée ?" Il m'a dit : "Oui !" À ce moment-là, j'ai vu notre pays comme une carte, et il se tenait au-dessus, au-dessus de la Bulgarie du Sud, et plus précisément quelque part au-dessus de Plovdiv. Et il a dit : "Sonnez les cloches, sonnez les cloches, sonnez les cloches !" J'ai demandé : "Y a-t-il des cloches dans le diocèse de Plovdiv ? "Oui !" Il a dit très brièvement et affirmativement. 

Puis il monta au Ciel, et, sa croix d'or à la main, il bénit d'en haut. De la Croix même, une lumière est descendue et a illuminé tout le pays. La dernière chose qu'il a dite a été : "Cela va passer !"

Après tout cela, un énorme changement s'est produit en moi - l'assurance et la force que Saint Nicéphore le Lépreux, le thaumaturge du coronavirus, m'a insufflées, face à la panique qui a englouti tout le monde dans le monde et dans notre pays ... "

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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