mercredi 5 avril 2017

Confession et Communion /3)


3. "Vous avez mangé de la viande avec nous hier soir donc vous ne pouvez pas recevoir les Mystères aujourd'hui."
J'ai même déjà rencontré des prêtres qui avaient mangé avec des laïcs à la veille de la Liturgie, mais qui communiaient en chassant les laïcs avec lesquels ils avaient mangé et bu la veille. L'esprit de cette réglementation est, encore une fois, trouvé dans une préparation appropriée pour l'Eucharistie: on ne doit pas "faire la fête profane" la nuit avant l'accueil de l'Eucharistie. Bien sûr, si l'on a «bien fait la fête»  la veille de la Liturgie, il faut s'abstenir de recevoir l'Eucharistie; Cependant, si l'on partage simplement un repas normal du samedi soir, cela ne devrait pas être un obstacle. 
Tout le monde ne comprend pas « l’esprit» de la réglementation, qui doit également être reconnu humblement sans jugement, ce qui peut amener certains individus à sentir que manger, même dans le but de se maintenir, n'est pas autorisé. En outre, il y a aussi ceux-ci étendent le règlement qui stipule que rien ne doit être pris par la bouche à partir de minuit la nuit avant que l'on ne reçoive l'Eucharistie au N-ième degré, ce qui interdit que rien ne soit  mis en bouche, pas seulement à partir de minuit, mais pour une période plus longue. 
Ce n'est que mon avis, mais si l'on s'associe à des individus qui croient que manger à la veille de l'Eucharistie, sans fête, ni boisson et beuverie, est un obstacle à la réception de l'Eucharistie, il faut éviter de manger avec ces individus, en optant pour manger seul, ou pour manger avec ceux, pour ainsi dire, ne sortent pas de la lettre de la loi.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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