mercredi 10 juin 2015

Une femme aveugle recouvre la vue devant les reliques de saint Georges ( 7 juin 2015 A.D.)


Les reliques du Grand Martyr Georges au couvent de la Sainte Résurrection 
de Novodievitchi  à Saint-Pétersbourg.
    
"Nous avons toujours tendance à compter sur un miracle dans notre foi. Mais le Seigneur fait des miracles précisément dans les moments où nous avons vraiment besoin d'eux," dit le hiéromoine Joseph, chef de la délégation du Mont Athos qui garde le reliquaire, rapporte AgionOros.ru

"Après avoir vénéré la main de saint Georges le Tropéophore, une femme aveugle avec une canne a quitté l'église. Dans la rue, elle a ouvert les yeux et s'est écriée dans la joie et les larmes: "Je peux voir! Ô Dieu, je peux voir!" bien que pendant les dix dernières années, elle ait été pratiquement aveugle. Des dizaines de croyants, y compris nous-mêmes, avons été témoins de ce miracle."

Père Joseph ajoute que les moines du Mont Athos ne prêtent pas trop d'attention à des cas de guérisons physiques et ne tiennent pas de registres les concernant.

"Le miracle le plus important est la renaissance, le salut éternel de l'âme humaine. Et nous avons vu ces miracles à Saint-Pétersbourg plus d'une fois. Nous l'avons vu dans les yeux des fidèles, dans leurs sourires, dans leurs larmes ".

Selon le hiéromoine, les fidèles à Saint-Pétersbourg sentent de tout leur cœur que le saint Grand Martyr Georges ravive et bénit toutes les personnes qui font appel à lui.

"Même si nous laissons les témoignages de guérisons physiques qui ne sont pas toujours enregistrés, nous pouvons certainement témoigner de la présence, d'une grâce spéciale inhabituelle à l'intérieur de l'église. Les bénévoles et tous les fidèles remarquent bien cela également. Un soulagement dans des situations difficiles vient immédiatement. Ceux qui viennent ici avec leurs douleurs, avec un coeur lourd, quittent le temple absolument transformés", rapporte le prêtre Dmitry Dmitriev, chef du service de bénévolat au service de la jeunesse du diocèse de Saint-Pétersbourg.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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