jeudi 10 juillet 2014

Père Andrew: Miracle en Autriche






Le 28 Juin 2014 a marqué le centenaire de l'assassinat tragique, prévu par les francs-maçons, de l'archiduc d'Autriche François-Ferdinand et de son épouse Sophie, duchesse de Hohenberg. Ce fut l'étincelle qui alluma la poudrière de l'Europe et conduisit ainsi à la Première Guerre mondiale. 

Soigneusement planifié par la franc-maçonnerie internationale et réalisé par un jeune étudiant bosniaque manipulé, l'assassinat réussit à détruire pour toujours la vieille Europe et conduisit à la chute des monarchies chrétiennes. Bien averti de ne pas se rendre à Sarajevo par le gouvernement impérial de Russie, avec lequel l'archiduc avait été en excellents termes depuis ses visites très cordiales à Saint-Pétersbourg en 1891 et 1907, il fit quand même cette visite. 

L'archiduc était devenu l'héritier du trône austro-hongrois, le 19 mai 1896, fête de saint Job et anniversaire du futur tzar martyr Nicolas II. En 1900, le pieux archiduc épousa par amour sa future épouse Sophia et se consacra entièrement à elle. 

En 1906, il présenta un plan pour reprendre le pouvoir aux trop puissants aristocrates hongrois qui opprimaient les Slaves dans l'Empire austro-hongrois et il s'apprêtait à accorder l'autonomie à plus de 12 nationalités différentes. Seule une telle décentralisation pouvait assurer la survie de l'Empire. Il résista aux pressions de l'élite hongroise et voulut assurer la paix avec la Russie et la Serbie, sachant que de puissants francs-maçons français et hongrois ne voulaient pas cela, mais recherchaient une guerre austro-russe. D'où leur assassinat bien planifié à Sarajevo. 

Après la guerre, la famille Hohenberg ne put garder que le château d'Artstetten

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, comme monarchistes convaincus et donc anti-nazis, les descendants de la famille furent emprisonnés à Dachau, où ils aidèrent les juifs et les tziganes. 

Cette année, du 9 au 11 mai 2014, les petits-enfants de l'archiduc invitèrent en Autriche un conseiller du métropolite Hilarion de l'Église Hors Frontières, avec l'icône myrrhoblyte de Moscou du tzar Nicolas II. C'est là que le miracle eut lieu. Le 10 mai au château d'Artstetten en Basse-Autriche, dominant avec ses dômes le Danube, devant les membres de la famille et le tombeau de l'archiduc, l'acathiste fut lu devant l'icône. 

C'est à ce moment que "le fond de l'icône a changé et l'auréole autour de la tête du tzar martyr a donné des rayons de lumière dorée; tour à tour son vêtement brillait et son visage semblait comme vivant, sa bouche paraissait s'ouvrir et ses lèvres remuaient comme s'il parlait. Sa main fit le signe de la croix pour bénir et il se dégagea un fort parfum; il semblait que sa silhouette était sur ​​le point d'avancer depuis l'arrière-plan. (Écrit par la princesse Rosalia von Hohenberg). Cela laissa une impression profonde sur toutes les personnes présentes.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

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