Donc, ce qui est un risque, un grand risque, c'est l'habitude, c'est un grand et terrible danger que l'habitude.
Nous ne pouvons pas nous permettre de tomber dans l'habitude, ni pendant la Liturgie, ni avec le chant, ni avec le Calice de Vie - ne tombons pas dans l'habitude dans ce domaine.
Nous devons ressentir de la crainte chaque fois qu'une Liturgie est servie. Suivons-la avec beaucoup d'émotion, de conscience et de gratitude.
Nous pouvons toujours suivre la Divine Liturgie, comme si c'était la première et la dernière fois.
Par conséquent, le plus grand danger est l'habitude. L'habitude dans sa règle, et dans la prière, dans la Liturgie, et, et, et...
Quand quelqu'un essaie de sentir le Seigneur près de lui, et de vivre son idéal, ils ne s'habitue jamais. Même s'il n'y a pas de temps, disons, pour qu'il accomplisse toute sa règle, s'il fait cette règle au moins bien, nettement, clairement et avec beaucoup de conscience, Dieu va recevoir cela comme l'accomplissement de dix règles. Que nos esprits et nos pensées soient à Dieu et sentent Dieu, là avec nous. Alors, le Seigneur bénit et sanctifie.
Notre vie doit s'éloigner des faiblesses, et être loin des divisions et des compromis. Recherchons une vie pure, une vie complètement pure et sacramentelle. Pour qu'elle soit parfumée avec la prière, l'adoration et la sainte lutte spirituelle. De sorte que toutes ces choses-là attestent que nous sommes inébranlables dans notre vocation, et que nous tenons fortement au saint héritage de notre vie qui a mis sa foi dans le Seigneur.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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